On parle beaucoup en ton nom, ces derniers jours. Tu te serais même transformée en arc, préférant l’extrême droite et ses idées autoritaires et racistes à une partie de la gauche. Tu le sais pourtant mieux que quiconque : les premiers t’ont toujours combattue, ils ont même failli t’abattre ; les seconds t’ont toujours défendue, au péril de leur vie. Comment en est-on arrivé à ce moment de bascule, où les valeurs sont brouillées ?
REPORTAGE - À La Verrière (Yvelines), où deux écoles ont été incendiées lors des émeutes, le nouveau locataire de la Rue de Grenelle s’est fixé comme cap le retour du «respect de l’autorité et des savoirs fondamentaux au cœur de l’école».
RÉCIT - Critiqué par une majorité de Français, selon notre sondage Odoxa-Backbone Consulting, ce remaniement a encore, plus qu’à l’ordinaire, donné lieu à des luttes d’influence et des coups fourrés.
CONTRE-POINT - Cette déception post-remaniement pose une question institutionnelle et une question existentielle.
Le projet de loi d’accélération de la reconstruction a été adopté jeudi par le Parlement. Mais, sur le terrain, les élus déplorent une réponse insuffisante.
Portraits des nouveaux ministres après un remaniement sans fanfare. Un casting qui ne fait que renforcer la macronie pour maintenir son cap.
Pap Ndiaye remplacé par Gabriel Attal, Aurore Bergé aux Solidarités... «Une valse de ministre» qui ne «changera pas la donne», ont réagi les principaux opposants au gouvernement.
L'épineuse question des conséquences des essais nucléaires français menés de 1966 à 1996 en Polynésie refait surface avec la publication du dernier rapport du comité d'indemnisation des victimes des essais nucléaires (Civen). Si les demandes d'indemnisation ont explosé l'an dernier, elles restent toutefois "insuffisante" pour les associations. C'est le dossier de cet hebdo signé Mélissa Chongue et Patita Savea.
Attendu, le remaniement a consacré Gabriel Attal au ministère de l’Éducation nationale ce jeudi soir. Pour Jean-François Copé, la nomination du fidèle macroniste est le «seul fait marquant».
La famille recomposée du gouvernement s'est retrouvée en Conseil des ministres vendredi avec huit nouvelles têtes, en majorité des fidèles de la macronie, à l'image de Gabriel Attal, le nouveau ministre de l'Éducation ou encore d'Aurore Bergé aux Solidarités. En amont de la réunion, le président de la République a affirmé avoir choisi "la continuité et l'efficacité pour les temps qui viennent".
Habituée aux apparitions médiatiques, la porte-parole des députés Renaissance devient secrétaire d’État. À 38 ans, elle est désormais chargée de piloter la délicate généralisation du Service national universel.
CONTRE-POINT - Si Gabriel Attal et Aurélien Rousseau ne veulent pas ajouter leur nom à la liste des ministres pour rien, ils devront faire preuve de courage et de créativité.
DÉCRYPTAGE - L’Élysée a procédé à quelques ajustements, notamment à l’Éducation et à la Santé.
La macroniste de la première heure, mêlée à de nombreuses polémiques ces derniers mois, quitte finalement le gouvernement.
Nommé au sortir du Covid, alors que tout le système de santé est à reconstruire, l’ex-urgentiste du CHU de Metz n’est pas parvenu à imprimer sa marque.
Le casse-tête du remaniement touche à sa fin : l'Elysée va annoncer ce jeudi la nouvelle équipe gouvernementale avec la promotion de Gabriel Attal à l'Education et une surprise, l'arrivée à la Santé d'Aurélien Rousseau, ancien directeur de cabinet d'Elisabeth Borne. Les détails de Flore Simon, journaliste politique à France 24.
L'Élysée a annoncé, jeudi, la nouvelle équipe de la Première ministre, Élisabeth Borne, avec onze portefeuilles ministériels qui ont changé de titulaire. Ce remaniement est marqué par le départ de Pap Ndiaye remplacé par Gabriel Attal à l'Éducation, l'arrivée surprise d'Aurélien Rousseau à la Santé, et Aurore Bergé qui succède à Jean-Christophe Combe aux Solidarités. La secrétaire d'État chargée de l'Économie sociale et solidaire, Marlène Schiappa, a été priée de prendre la sortie.
Retour sur cinq moments forts d’une session parlementaire au cours de laquelle les députés ont ferraillé dans un Hémicycle en ébullition permanente.
Au terme d'un long suspense, l'Élysée doit dévoiler jeudi la nouvelle équipe gouvernementale d'Élisabeth Borne. Cinq ou six départs pourraient être annoncés dont celui de Pap Ndiaye, le ministre de l'Éducation nationale, ou encore celui de la secrétaire d'État chargée de l'Économie sociale et solidaire, Marlène Schiappa, affaiblie par l'affaire de la gestion du Fonds Marianne.
Après avoir été adopté à l’unanimité au Sénat, le texte s’apprête à être voté par les députés. La présidente du groupe RN, Marine Le Pen, regrette que la loi ne prévoie pas le principe de casseur-payeur.
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