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Union européenne

Le pastoralisme alpin se réinvente

Euractiv.fr - Tue, 29/09/2020 - 15:20
Parfois rude, le pastoralisme reste un mode d’élevage majeur dans les Alpes. Lors des prochaines assises euro-alpines du pastoralisme, différentes initiatives seront évoquées pour développer cette pratique ancestrale et durable.
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La fuite des capitaux entrave le développement du continent africain

Euractiv.fr - Tue, 29/09/2020 - 14:28
D’après un rapport de la CNUCED sur le développement économique en Afrique, la fuite des capitaux a été estimée à 88,6 milliards de dollars en moyenne pour la période 2013-2015, soit environ 3,7 % du PIB africain.
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Affrontements au Haut-Karabakh: une solution négociée est-elle encore possible?

RFI (Europe) - Tue, 29/09/2020 - 11:35
Le Conseil de sécurité doit se réunir ce mardi soir pour évoquer en urgence la situation dans le Haut-Karabakh, après deux journées d'affrontements. Un bilan provisoire faisait état lundi soir de 95 morts, dont onze civils. Ce sont les affrontements les plus meurtriers depuis 2016 entre les forces azerbaïdjanaises et les séparatistes arméniens. Rien ne semble pour le moment pouvoir les arrêter.
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La présidence de l’UE planche sur le lien entre respect de l’État de droit et accès aux fonds européens

Euractiv.fr - Tue, 29/09/2020 - 11:10
L'Allemagne, qui assure la présidence tournante de l’UE, va présenter une proposition permettant de lier le versement des fonds européens, issus du budget ou du nouveau Fonds de relance, au respect de l'État de droit. Un article d’Euroefe.
Categories: Union européenne

Les plateformes en ligne ne sont plus de simples « hébergeurs » dans l’économie numérique

Euractiv.fr - Tue, 29/09/2020 - 10:37
Les géants des plateformes en ligne pourraient ne plus être définis comme de simples hébergeurs, a indiqué le commissaire au marché intérieur Thierry Breton lundi (28 septembre), tandis que le bloc œuvre à la réglementation de l’économie numérique.
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Washington ou Pékin ? L’Oncle Sam demande au Portugal de choisir

Euractiv.fr - Tue, 29/09/2020 - 09:58
L’actu en capitales décrypte l’info de toute l’Europe, grâce au réseau de rédactions d’Euractiv.
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119/2020 : 29 septembre 2020 - Conclusions de l'avocat général dans les affaires jointes C-422/19 et C-423/19

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Tue, 29/09/2020 - 09:53
Hessischer Rundfunk
Politique économique
Selon l’avocat général Pitruzzella, le droit de l’Union prévoit, en principe, une obligation d’accepter des espèces en euros pour le règlement des créances de sommes d’argent

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Europass, un passeport européen pour l’emploi

Euractiv.fr - Tue, 29/09/2020 - 08:00
La Commission européenne a lancé le 1er juillet la nouvelle plateforme Europass. Cet outil gratuit, disponible en 29 langues et dans 35 pays, permet de créer un profil professionnel en ligne afin de valoriser ses compétences et de trouver un emploi ou une formation au sein de l’Union européenne.
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À Vilnius, Emmanuel Macron regarde vers la Russie et demande une transition en Biélorussie

RFI (Europe) - Tue, 29/09/2020 - 00:14
Emmanuel Macron est arrivé à Vilnius pour une visite de deux jours dans la région balte. Dès lundi, Emmanuel Macron a rencontré son homologue lituanien, Gitanas Nauseda. Mais les discussions entre les deux chefs d’État ont vite porté sur la Russie et la Biélorussie. Des questions incontournables depuis Vilnius.
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Espagne: manifestation à Barcelone après la destitution de Quim Torra

RFI (Europe) - Mon, 28/09/2020 - 23:21
Lundi 28 septembre, la Cour suprême espagnole a destitué le président catalan Quim Torra en confirmant sa condamnation à un an et demi d'inéligibilité. À Barcelone, quelques centaines de manifestants se sont regroupés en fin de journée pour lui dire au revoir.
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Grèce: douze membres d’équipage d’un bateau de croisière testés positifs au Covid-19

RFI (Europe) - Mon, 28/09/2020 - 23:07
En Grèce, douze membres d’équipage d’un bateau de croisière ont été testés positifs au coronavirus, avant d’être placés à l’isolement. Tous étaient asymptomatiques. Plus de 1 500 personnes se trouvent actuellement à bord de ce navire battant pavillon maltais. En provenance de Milos, une île des Cyclades où il se trouvait, le navire est à présent attendu mardi matin au port du Pirée, où une série de nouveaux tests devraient être effectuée.
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En Lituanie, Macron s’implique dans la crise au Bélarus

Euractiv.fr - Mon, 28/09/2020 - 21:45
Le président français Emmanuel Macron, arrivé lundi après-midi à Vilnius, a réaffirmé sa détermination à œuvrer avec les autres pays européens pour un changement de régime au Bélarus voisin. Il a annoncé qu'il rencontrerait mardi la cheffe de file de l'opposition Svetlana Tikhanovskaïa.
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Le pape François renforce la lutte contre l'opacité financière au Vatican

RFI (Europe) - Mon, 28/09/2020 - 20:13
Le souverain pontife a nommé ce lundi un avocat italien spécialiste en criminalité financière, qui vient renforcer la justice interne au sein du Vatican. Une nomination qui intervient quelques jours après la démission d’un cardinal, accusé de malversations.
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Asile : la Commission rate son "pacte"

Coulisses de Bruxelles - Mon, 28/09/2020 - 19:58

C’est une belle victoire pour Viktor Orban, le Premier ministre hongrois, et ses partenaires d’Europe centrale et orientale aussi peu enclins que lui à accueillir des étrangers sur son sol. La Commission renonce définitivement à leur imposer d’accueillir des demandeurs d’asile en cas d’afflux dans un pays de la « ligne de front » (Grèce, Italie, Malte, Espagne). Certes, le volumineux paquet de textes qu’elle propose ce mercredi (10 projets de règlements et trois recommandations, soit plusieurs centaines de pages…), pompeusement baptisé « Pacte sur l’immigration et l’asile », prévoit qu’ils devront, par « solidarité », assurer les refoulements vers les pays d’origine des déboutés du droit d’asile, mais cela ne devrait pas les gêner outre mesure. Car, sur le fond, la Commission prend acte de la volonté des Vingt-sept de transformer l’Europe en forteresse.

Traumatisme

La crise de 2015 les a durablement traumatisés. À l’époque, la Turquie, par lassitude d’accueillir sur son sol plusieurs millions de réfugiés syriens et centaines de milliers de migrants économiques dans l’indifférence de la communauté internationale, ouvre ses frontières. La Grèce, Etat failli, est rapidement submergée et plusieurs centaines de milliers de personnes traversent les Balkans afin de trouver refuge notamment en Allemagne et en Suède, les pays les plus généreux en matière d’asile. Passé les premiers moments de panique, les Européens réagissent de plusieurs manières. La Hongrie fait le sale boulot en fermant brutalement sa frontière. L’Allemagne, elle, accepte d’accueillir un million de demandeurs d’asile, mais négocie avec Ankara un accord pour qu’elle referme ses frontières, accord ensuite endossé par l’Union qui lui verse en échange 6 milliards d’euros destinés aux camps de réfugiés. Enfin, l’Union adopte un règlement destiné à relocaliser sur une base obligatoire une partie des migrants dans les autres pays européens afin qu’ils instruisent les demandes d’asile dans le but de soulager la Grèce et l’Italie, pays de premier accueil. Depuis, si la Turquie a à peu près respecté ses engagements, cela n’a pas été le cas des pays européens : non seulement les États d’Europe de l’Est, qui ont voté contre ce règlement, ont refusé d’accueillir le moindre réfugié, mais leurs partenaires de l’Ouest n’ont pas vraiment fait mieux. Sur 160 000 personnes qui auraient dû être relocalisées, un objectif rapidement revu à 98 000, moins de 35 000 l’ont été à la mi-2018, date de la fin de ce dispositif (la France n’en a accueilli que 5000)…

Usine à gaz

Depuis, l’Union a considérablement durci les contrôles, notamment en créant un corps de 10000 garde-frontières européens et en renforçant les moyens de Frontex, l’agence chargée de gérer ses frontières extérieures. En février-mars, la tentative d’Ankara de faire pression sur les Européens dans le conflit syrien en rouvrant partiellement ses frontières a fait long feu : la Grèce a employé les grands moyens, y compris violents, pour stopper ce flux sous les applaudissements de ses partenaires… Autant dire que l’ambiance n’est pas à l’ouverture des frontières et à l’accueil des persécutés.

Mais la crise migratoire de 2015 a laissé des « divisions nombreuses et profondes entre les États membres – certaines des cicatrices qu’elle a laissées sont toujours visibles aujourd’hui », comme l’a reconnu Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission dans son discours sur l’État de l’Union du 16 septembre. Afin de tourner la page, la Commission propose de laisser tomber la réforme de 2016 (Dublin IV) prévoyant de pérenniser la relocalisation autoritaire des migrants, désormais jugée par une haute fonctionnaire de l’exécutif « totalement irréaliste ». Mais la réforme qu’elle propose, une véritable « usine à gaz », n’est qu’un « rapiéçage » de l’existant, comme l’explique Yves Pascouau, spécialiste de l’immigration et responsable des programmes européens de l’association Res Publica.

Dublin maintenu

Ainsi, alors que von der Leyen avait annoncé, le 16 septembre, sa volonté « d’abolir » le règlement de Dublin III, il n’en est rien : le pays responsable du traitement d’une demande d’asile reste, comme c’est le cas depuis 1990, le pays de première entrée. Seules exceptions à ce principe dont la plupart existe déjà : les mineurs (le pays sera choisi en fonction de son intérêt), la réunification familiale (la Commission propose de l’étendre aux frères et sœurs du réfugié statutaire), les étrangers qui ont obtenu dans les 3 ans précédents un visa d’un État membre et, enfin, et c’est nouveau, ceux qui peuvent se prévaloir d’un diplôme ou d’une qualification acquise dans un autre pays… Bref, on ne tient toujours aucun compte de la volonté du migrant.

S’il y a une crise, la Commission pourra déclencher un « mécanisme de solidarité » afin de soulage un pays de la ligne de front : dans ce cas, les Vingt-sept devront accueillir un certain nombre de migrants (en fonction de leur richesse et population) sauf s’ils préfèrent « parrainer un retour », en clair prendre en charge le refoulement des déboutés de l’asile (avec l’aide financière et logistique de l’Union) en sachant que ces personnes resteront à leur charge jusqu’à ce qu’ils y parviennent… Ça, c’est pour faire simple, car il y a plusieurs niveaux de crise, des exceptions, des sanctions, des délais et l’on en passe… Autre nouveauté : les demandes d’asile devront être traitées par principe à la frontière, dans des camps de rétention, pour les nationalités dont le taux de reconnaissance di statut de réfugiest inférieur à 20 % dans l’Union, et ce, en moins de 3 mois avec refoulement à la clef en cas de refus. « Cette réforme pose un principe clair, explique un eurocrate : personne ne sera obligé d’accueillir un étranger dont il ne veut pas ».

Bonne nouvelle

Dans cet ensemble très répressif, une vraie bonne nouvelle : les sauvetages en mer ne devraient plus être criminalisés. On peut craindre qu’une fois passés à la moulinette des Etats, qui doivent adopter ce paquet à la majorité qualifiée (55 % des Etats représentant 65% de la population), il ne reste que les aspects les plus répressifs. On ne se refait pas.

Photo: AFP

N.B.: version longue de l’article paru dans Libération du 23 septembre

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Communiqué de presse - Des objectifs de réduction des émissions plus ambitieux: nécessaire et faisable

Parlement européen (Nouvelles) - Mon, 28/09/2020 - 18:50
La commission de l’environnement a interrogé lundi le vice-président Timmermans sur le nouveau plan cible en matière de climat à l’horizon 2030.
Commission de l'environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire

Source : © Union européenne, 2020 - PE
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Vidéo d'une réunion d'une commission - Lundi 28 septembre 2020 - 16:45 - Sous-commission "droits de l'homme" - Commission du développement - Commission des affaires étrangères

Durée de la vidéo : 88'

Clause de non-responsabilité : L'interprétation des débats facilite la communication mais ne constitue en aucun cas un enregistrement authentifié des débats. Seuls le discours original ou la traduction écrite révisée du discours original peuvent être considérés authentiques.
Source : © Union européenne, 2020 - PE
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Article - À l’agenda cette semaine : services numériques, auditions des commissaires, Prix Sakharov

Parlement européen (Nouvelles) - Mon, 28/09/2020 - 18:02
Les députés tiendront des auditions pour les candidats au poste de commissaire, voteront sur l’acte sur les services numériques et présenteront les nominés pour le Prix Sakharov 2020.

Source : © Union européenne, 2020 - PE
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La lauréate du prix Nobel 2015 Alexievitch a quitté la Biélorussie pour se faire soigner

RFI (Europe) - Mon, 28/09/2020 - 17:52
À 72 ans, le prix Nobel de littérature Svetlana Alexievitch était l'une des dernières figures de l'opposition biélorusse à être encore dans le pays et en liberté. Ce lundi, une des ses amies a annoncé son départ pour l'Allemagne. Elle doit y recevoir des soins médicaux.
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Un sommet européen tout en égo

Coulisses de Bruxelles - Mon, 28/09/2020 - 17:20

Tout heureux du succès du conseil européen des 17-21 juillet, l’un des plus longs de l’histoire communautaire, Charles Michel a décidé de remettre le couvert sans attendre le traditionnel sommet d’automne prévu les 15 et 16 octobre : fin août, le président du Conseil a convoqué une nouvelle réunion physique des vingt-sept chefs d’État et de gouvernement les 24 et 25 septembre pour discuter politique étrangère et économie numérique. Mais dimanche 20 septembre, bardaf c’est l’embardé comme l’on dit en Belgique : Michel a annoncé que son garde du corps avait été contaminé par la covid-19 et que, cas contact, il devait s’isoler pour une semaine. Dans la foulée, il a décalé le sommet aux 1er et 2 octobre.

Visioconférence

Une décision curieuse. Car Michel aurait pu décider de basculer en visioconférence. Avant même sa quarantaine, plusieurs pays s’étaient demandé pourquoi il fallait se revoir physiquement alors que la pandémie de coronavirus n’est toujours pas terminée et que les visioconférences organisées entre mars en juillet ont montré qu’il était possible de progresser dès lors que les sujets à l’ordre du jour avaient été bien préparés par les Représentants permanents des États membres.

Ce n’est évidemment pas l’avis de l’entourage de Charles Michel qui estime qu’un sujet comme la Turquie nécessite une rencontre physique, d’autant que Chypre a pris en otage la semaine dernière le dossier biélorusse afin d’obtenir des sanctions contre Ankara qui multiplie les provocations en Méditerranée orientale. « C’est vrai, mais le dossier est quasiment résolu », nous confie un diplomate peu convaincu par l’explication.

Ego

Surtout, Michel aurait pu demander à la chancelière allemande Angela Merkel, dont le pays assure la présidence tournante du Conseil des ministres, de le remplacer aux pieds levés. Dans l’entourage de Charles Michel, on estime qu’il n’était pas « inapte » à présider, mais seulement en quarantaine et donc qu’il ne pouvait pas confier la présidence à quelqu’un d’autre. Là, on a vraiment du mal à voir la différence. « Il ne faut pas chercher très loin : en réalité, il ne voulait pas laisser la place à la chancelière qui aurait pu se prévaloir d’un succès sur la Biélorussie et la Turquie », confie, agacé, un diplomate européen. En clair, ce sommet et son déplacement d’une semaine doit tout à l’égo de Charles Michel et rien à la nécessité. D’autant qu’un nouveau Conseil est prévu dans quinze jours…

Plusieurs capitales n’ont guère apprécié ce report, car modifier les agendas de vingt-sept chefs d’État et de gouvernement avec une semaine de préavis n’est pas des plus simples. D’autant que le sommet s’étale sur deux jours, ce qui reste surprenant en ces temps de pandémie : « si ça ne tenait qu’à nous, réplique-t-on dans l’entourage de Charles Michel, on aurait pu tout faire tenir sur une journée en commençant tôt jeudi matin. Mais le Néerlandais Mark Rutte et Angela Merkel doivent aller devant leur Parlement le matin du Conseil pour expliquer ce qu’ils vont faire. Donc on n’a pas le choix : on ne peut se réunir qu’en milieu d’après-midi et tout le monde doit dormir à Bruxelles ». Afin de limiter les risques, les délégations nationales seront limitées, comme en juillet, à 7 personnes et le conseil se déroulera dans une salle qui peut contenir 335 personnes en présence des seuls chefs accompagnés d’un conseiller afin de maintenir les distances physiques.

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Communiqué de presse - Loi sur les services numériques: les députés définissent leurs priorités

Parlement européen (Nouvelles) - Mon, 28/09/2020 - 16:04
Les demandes des députés sur la façon dont les services numériques, y compris les plateformes et places de marché en ligne, doivent être réglementés ont été présentées lors d'un vote lundi.
Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs

Source : © Union européenne, 2020 - PE
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