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Défense

Forces armées de la zone sud de l’océan Indien (FAZSOI) : une journée en immersion pour l’escadron de transport 50 « Réunion »

Mardi 4 octobre 2016, sous la supervision des services opérations du détachement air 181 « Lieutenant Roland Garros », le personnel de l'escadron de transport (ET) 50 « Réunion » s’est entraîné aux conséquences d'un amerrissage en urgence dans des conditions quasi réelles.
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Commando Ponchardier, le 7e commando

RP Defense - Wed, 12/10/2016 - 12:55
12 oct. 2016 Ministère de la Défense #JDEF - On les entend rarement parler de leur métier. Les commandos marine ont la culture du silence. Contre-terrorisme, libération d’otage, renseignements... Il n’existe que peu d’images d’eux en opération. Au Mali,...
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STX : L'Etat veillera au choix du repreneur, assure Valls

MeretMarine.com - Wed, 12/10/2016 - 06:01

Manuel Valls a réitéré ce mardi la promesse gouvernementale de veiller au choix du repreneur des emblématiques chantiers navals de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), mis en vente par le constructeur sud-coréen en difficulté STX.

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Lycée maritime du Guilvinec : Un BTS pêche à la rentrée

MeretMarine.com - Tue, 11/10/2016 - 19:01

La demande formulée à plusieurs reprises a été entendue. Le lycée maritime du Guilvinec (29) aura, à la rentrée prochaine, son BTS pêche. L'annonce a été faite ce mardi lors de la venue dans l'établissement bigouden d'Isabelle Pellerin, vice-présidente du conseil régional.

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« La Garde nationale n’est pas une entité autonome »

Blog Secret Défense - Tue, 11/10/2016 - 18:38
Sa création, mercredi au Conseil des ministres, ne changera rien au fonctionnement des actuelles réserves opérationnelles.
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CORYMBE: le PHM Commandant Ducuing coopère avec la marine camerounaise

Du 20 au 26 septembre 2016, le patrouilleur de haute mer Commandant Ducuing, déployé en opération Corymbe dans le Golfe de Guinée, a mené des opérations de coopération et de formation au profit des marins camerounais.
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Exercice Sougex : 12 jours pour construire une base aérienne projetée

Du 3 au 14 octobre 2016, un exercice baptisé Sougex se déroule sur la base aérienne 120 de Cazaux. L’objectif fixé aux hommes du groupement aérien d’appui aux opérations (GAAO) de Bordeaux est de construire une base aérienne projetée en douze jours.
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Beata a intérêt à sortir son parapluie. La bêtise au pouvoir à Varsovie

Bruxelles2 - Tue, 11/10/2016 - 16:30

Beata Szydlo en visite dans les usines polonaises de Mielec et Sidwik (crédit : PM Pologne)

(BRUXELLES2) La décision du gouvernement polonais d’abandonner sans coup férir les négociations menées depuis un an avec Airbus pour l’achat d’hélicoptères Caracal et d’annoncer préférer les hélicoptères Black Hawk de l’Américain Lockheed Martin est souvent rapprochée de celle prise en 2002 préférant les F-16 aux Mirage 2000-5. Or le contexte est totalement différent. Si la décision d’acheter les F-16 pouvait se justifier, celle-ci est très difficilement explicable autrement que par des critères politiques et idéologiques. Cette décision du gouvernement de Beata Szydło révèle un certain orgueil démesuré, une certaine confiance en soi qui n’est pas en prise avec les réalités politiques et géopolitiques et risque de se retourner contre les Polonais. En un mot, cette décision est bête… à pleurer.

L’achat manqué du Mirage : une autre affaire

En 2002, la Pologne vient d’adhérer à l’OTAN. Le F-16 est alors l’avion adopté par une bonne demi-douzaine d’armées européennes (Belgique, Pays-Bas, Danemark, Grèce, Norvège, Portugal). Seule la Grèce est équipée en Mirage. En choisissant le premier modèle, Varsovie prenait la « norme OTAN », s’assurait pour un prix raisonnable une certaine possibilité de mutualisation avec d’autres pays sur un standard identique, et permettait de rendre la monnaie de leur soutien aux partenaires américains. Il y avait une logique politique et opérationnelle évidente (même si on peut ne pas la partager) à choisir le F-16 plutôt qu’un avion français fabriqué en France. Critiquer vertement cette acquisition pour la Pologne et ne pas le faire pour les autres pays — comme le font certains commentateurs — est pour le moins peu logique et légèrement désobligeant pour les Polonais.

L’achat du Caracal : un choix industriel également

En 2016, la situation est légèrement différente. Airbus est un groupe européen, et non pas seulement français. Il a une position de choix sur le marché des hélicoptères. Et même si le Caracal (EC 725 ou H225M) n’a pas été choisi par d’autres alliés, c’est un appareil de choix, déjà testé, vendu dans plusieurs pays dans le monde. Son prédécesseur — le Super Puma — est utilisé par plusieurs armées de l’air européennes (Allemagne, Espagne, Grèce, Suède). Et sa version civile (H225 Super Puma) est aussi promise à un certain avenir. Le groupe européen veut investir en Pologne et faire de ce pays un point d’appui pour ses exportations vers l’Est. Un intérêt pour l’industriel mais aussi pour le pays. La plupart des pays de l’ancien « bloc soviétique » sont équipés d’hélicoptères de fabrication russe de type Mi. Il y a là l’enjeu d’un véritable projet pour la Pologne, chef de file du groupe de Visegrad.

Un montage délicat détruit à coups de bulldozers

Le partage délicat des différents marchés conclus par l’armée polonaise entre les Américains (pour les missiles) et les Européens (pour les hélicoptères) — effectué par le précédent gouvernement — relevait d’un subtil équilibre, soigneusement réfléchi au plan politique, permettant, sans renier l’attachement euro-atlantique de la Pologne, d’ouvrir des portes pour travailler, aussi, en commun entre Européens. Il était même question alors d’une possible montée de Polonais dans le capital d’Airbus. Las… pour de multiples raisons — dont la moindre n’est pas que la décision a été prise par le précédent gouvernement — Varsovie a décidé de rompre les discussions et de passer outre avec un contrat passé avec Lockheed Martin.

Un camouflet à l’intégration européenne

Cet acte est aussi très politique comme le précédent mais largement empreint d’une idéologie et de petits calculs à très court terme. Pour le gouvernement du PiS, il s’agit tout d’abord de revoir la décision du précédent gouvernement. Ce qu’a fait la Plateforme civique (PO) est mauvais, ce qu’a fait PO doit être défait. Il s’agit aussi de montrer outre-Atlantique combien la Pologne est fidèle à ses intérêts. Au passage, il s’agit d’infliger un camouflet à la France et à l’Allemagne (Paris très impliqué dans cette vente n’est pas tout seul), à Airbus et, plus généralement, à tout ce qui ressemble de près ou de loin à l’intégration européenne qui est honni à Varsovie. En outre, cette décision brave l’autorité européenne l’obligeant à agir — car le nouveau contrat pourrait bien ne pas être conforme aux règles européennes sur les marchés publics (comme l’ont indiqué à B2 certaines sources européennes).

Une erreur d’une bêtise affligeante

Utiliser des méthodes qui ressemblent davantage à des méthodes de voyous — laisser croire qu’on négocie un contrat tout en négociant en douce avec le concurrent n’est pas vraiment fair play — ne sont pas de nature à susciter la confiance pour l’avenir. La Pologne ne sera plus pour des années un allié fiable. Fâcher un pays européen (la France) qui n’est pas mineur tant au niveau de l’Union européenne que de l’OTAN, un pays avec qui on partage une certaine organisation de l’Etat (Etat unitaire, majorité/opposition) comme en matière socio-économique (place de l’agriculture dans l’économie, et de l’industrie etc.) et est donc un allié objectif, est un sacré faux pas. Le faire au moment où s’entament des négociations avec le Brexit (avec une grosse immigration polonaise présente sur le territoire britannique), où commence à se négocier la révision à moyen terme du cadre financier actuel (2014-2020) et où va bientôt s’entamer un nouveau cadre européen de financement pluriannuel (2021-2027), où la Pologne a tout à perdre (1) relève de la pure idiotie politique.

Un manque de sens historique

Enfin, si les Polonais croient s’attirer la bienveillance et la protection américaine, ils se mettent le doigt dans l’œil jusqu’au trognon… Ils ont oublié l’histoire. Les Etats-Unis n’ont jamais bougé le petit doigt quand la Russie — et dans le temps l’URSS — est intervenue militairement sur le continent européen : ni en 1968 à Prague et en 1956 à Budapest, ni en 1991-1992 en Moldavie (Transnistrie) et en Géorgie (Abkhazie et Ossétie du Sud), ni en 2008 à nouveau en Géorgie, ni tout récemment en 2014 en Ukraine (Crimée, Dombass), ni même en 2015-2016 en Syrie. Il faut regarder l’histoire et la politique actuelle… Les seules fois où les Etats-Unis sont intervenus, c’est pour soutenir par proxy interposé certaines forces qui s’opposaient aux Russes-Soviétiques, comme en Afghanistan. Le résultat n’est pas extrêmement probant d’un simple point de vue de la sécurité américaine à moyen terme. Il y a là une erreur stratégique que commet Varsovie, illusionné, par un tropisme patriotique échevelé…

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Tous les indicateurs sont au rouge pour la Pologne : 1) Elle est un des principaux bénéficiaires des fonds structurels et fonds agricoles dans la nouvelle mouture européenne mise en place en 2000. 2) il faut compenser le départ britannique (au bas mot 5 milliards d’euros par an en moins) — ce qui implique de serrer les dépenses. 3) Tous les pays ont aujourd’hui besoin d’argent frais européen, notamment l’Espagne comme l’Irlande ou l’Italie. Et chacun va ‘défendre’ chèrement ses intérêts nationaux. 4) Les Etats contributeurs nets (Allemagne en tête) ne vont plus vouloir payer – sans contrepartie – pour des pays qui ont manqué dans la dernière crise migratoire au premier devoir de solidarité. Etc.

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Barkhane : Opération Espreaux

L’opération baptisée « Espreaux » s’est déroulée du 27 au 30 septembre dans la région de Tin Bourki, au nord-est de Tombouctou. Elle a été conduite par les forces armées maliennes (FAMa) et appuyée par le détachement de liaison et l’appui opérationnel 4 (DLAO 4) de Tombouctou.
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EUPOL Afghanistan se retire. ‘Nous avons accompli un travail important’ même si… (Pia Stjernvall)

Bruxelles2 - Tue, 11/10/2016 - 14:43
(B2 - exclusif) Alors que la mission de police de l'Union européenne en Afghanistan (EUPOL Afghanistan) touche à sa fin, Pia Stjernvall dresse le bilan de 10 ans de présence européenne auprès de la police Afghane. Arrivée à la tête de la mission le 16 février 2015, cette diplomate finlandaise est une habituée du pays. D'abord […]
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Un drone piégé utilisé à Erbil

Le mamouth (Blog) - Tue, 11/10/2016 - 12:42
C'est ma collègue du Monde Nathalie Guibert qui le révèle : un drone piégé est responsable des
Plus d'infos »
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Le BPC Dixmude participe à un exercice amphibie à Abidjan

Du 20 au 22 septembre 2016,  les Forces Françaises en Côte d’Ivoire et l’équipage du Bâtiment de Projection et de Commandement Dixmude, actuellement déployé en mission Corymbe  ont effectué un entraînement conjoint sur les rives de la lagune d’Abidjan.Lire la suite de l'article... 
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Carnet (11.10.2016) EUNAVFOR Med Sophia (ONU). EUTM Rca (Soma). EUPOL Afghanistan (SOMA). Russie (sanctions, Brok). Afrique Australe (APE). Liban (aide réfugiés). Egypte (aide développement). Pays-Bas (Minusma). Daesh. RDC Congo. Merkel au Sahel. EDA ...

Bruxelles2 - Tue, 11/10/2016 - 10:28
(B2) Parus récemment : Un émissaire tchèque en Syrie pour ouvrir le dialogue ? * La Pologne joue la politique de la chaise vide aux réunions des ministres de la Défense* Le formation des garde-côtes libyens commence. Objectif : être opérationnel avant l’été 2017 (Credendino) Quand l’Euro fut sauvé par … un Britannique* Les Etats-Unis […]
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Opération Barkhane : dans la peau d’un officier mécanicien sur avion ravitailleur C135 à Niamey

Indispensables au détachement chasse de l’Armée de l’Air pour donner l’allonge nécessaire aux Mirage 2000 dans la bande sahélo-saharienne, les avions ravitailleurs de type C135 de l’opération Barkhane sont basés à Niamey (Niger). Sous les ordres du lieutenant Vincent, une équipe de mécaniciens s’attèle quotidiennement à garantir tout le potentiel de l’avion.
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Un émissaire tchèque en Syrie pour ouvrir le dialogue ?

Bruxelles2 - Tue, 11/10/2016 - 07:00

(B2) Un avion contenant de l’aide humanitaire tchèque à la Syrie s’est posé à Damas, dimanche (9 octobre). A l’intérieur du matériel de dialyse et des fauteuils roulants remis au Croissant rouge syrien et destinés aux « personnes déplacées » à l’intérieur du conflit. Un second avion doit suivre avec d’autres unités de dialyse, précise le ministère tchèque des Affaires étrangères qui a financé en partie cette aide (1) ainsi que ECHO, la direction de l’aide humanitaire de l’Union européenne.

Une visite très politique

L’essentiel n’est cependant pas là… Un émissaire de haut niveau, le vice-ministre tchèque des Affaires étrangères, Martin Tlapa, a profité de l’envoi de cette aide pour rencontrer ses homologues syriens, notamment Faisal Mekdad et Walid al-Muallem, respectivement vice-ministre et ministre des Affaires étrangères. Objectif de la réunion : assurer l’accès humanitaire à toutes les zones de la Syrie, y compris Alep, nécessité de rétablir le-feu et lancer des pourparlers politiques.

Les Tchèques derniers des Mohicans européens à Damas

La république Tchèque a toujours maintenu des liens avec Damas, maintenant là où d’autres pays l’avaient fermé, son ambassade dans la capitale syrienne. C’est la dernière ambassade de l’Union européenne ouverte dans la capitale syrienne.

Un envoyé spécial de l’UE ?

Cette visite vient bien opportunément rappeler qu’il n’y a pas, au niveau européen, d’envoyé spécial ou de représentant spécial de l’UE. Ce qui serait peut-être nécessaire. Certes Staffan de Mistura, l’envoyé spécial de l’ONU, de nationalité suédoise et italienne, est un Européen. Et on peut se poser la question de nommer un autre Européen à ce poste. Mais si l’Union européenne veut exister politiquement comme diplomatiquement, la bonne question à se poser ne devrait-elle pas être celle de l’existence d’un envoyé spécial de l’UE ?

Faut-il rétablir des liens diplomatiques ?

Quoi qu’on puisse en penser, ce sera par des contacts officiels et officieux (et non par des visites servant à la propagande de Damas) que pourra se rétablir un lien avec la Syrie. Quoi qu’il puisse en coûter, il faut faire cesser le conflit. Ce n’est pas la première fois qu’on discute et qu’on négocie avec des dictatures. Et ce ne sera que par là que pourra se créer une porte de sortie à un conflit… où, pour l’instant, Bachar est gagnant, n’en déplaise aux diplomaties française, britannique et autres.

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) D’un montant de 4,5 millions de couronnes tchèques, cette aide s’inscrit dans le programme du gouvernement de fourniture d’aide humanitaire, de développement et d’aide à la reconstruction de la Syrie. Programmé doté pour la période 2016 – 2019 de 195 millions de CZK.

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