You are here

Défense

L’Europe face à Trump: dégâts et opportunités


Article publié dans Global Brief  (Toronto)


Ou bien les européens décident d’améliorer leur efficacité stratégique, deviennent des acteurs engagés de leur propre destin, y compris sur le plan militaire, et nous verrions alors naître une «Europe plus» – une Europe qui cesserait d’agacer outre-Atlantique par sa pusillanimité et trouverait grâce davantage aux yeux des décideurs et des analystes états-uniens, sans Trump ou même avec lui. Ou bien les Européens sortiront de l’histoire.***Y a-t-il alors, derrière cette attitude trumpienne, une folie négatrice de la réalité du système international actuel? Ou plutôt un néo-reaganisme en plus iconoclaste, mais avec le même mot d’ordre subliminal: «America is back»? Doit-on lire dans la cacophonie diplomatique américaine actuelle un isolationnisme véritable, qui pourrait conduire à un retrait américain tant redouté depuis 1945 – à savoir une remise en cause de la Grande Stratégie américaine en vigueur depuis la Seconde Guerre mondiale, qui consiste à privilégier la capacité d’engagement militaire d’une part, le soutien à une gouvernance libérale du monde d’autre part, et la pratique du multilatéralisme enfin? Ou bien s’agit-il en réalité d’un néo-nationalisme ne mettant pas en cause le leadership américain, mais plus exigeant avec ses alliés comme pouvait l’être celui de Reagan, mâtiné d’un style volontiers grossier déjà présent sous Nixon, mais qui restait à l’époque méconnu car non relayé par les réseaux sociaux?La réponse à ces questions est d’importance car elle déterminera l’attitude que les européens devront opposer à leur allié américain. L’Europe doit naturellement éviter d’abord le chaos pour elle-même, en ces temps de Brexit, de populisme et de divisions multiples. Les récentes élections européennes ayant montré précisément que les partis nationalistes d’une part et les partis libéraux d’autre part (possiblement alliés aux écologistes), comptaient parmi les forces montantes, appelées à s’affronter dans les prochains mois. Si cette confusion persistait, nous aurions affaire à une Europe-chaos peu intéressante pour Washington, quelle que soit l’administration au pouvoir.Mais le temps n’est plus à décoder les intentions de la Maison-Blanche, mais à mesurer les résultats de ses choix. Le premier de ces résultats est indéniablement la double inquiétude des alliés des États-Unis vis-à-vis de la garantie de sécurité américaine d’une part, et du comportement de Donald Trump dans des régions à risque d’autre part. Néanmoins – et c’est le second point, paradoxal – cette diplomatie américaine brutale, au moins à court terme, génère parfois des évolutions positives, voire des opportunités ou des ouvertures pour l’Europe. Au final, les européens doivent retrouver les chemins de la réflexion stratégique afin de bien appréhender la nature de ce trumpisme dont rien ne dit qu’il s’arrêtera en 2020, et pour forger en retour, enfin, une vision stratégique pertinente.
Au final, les Européens doivent retrouver les chemins de la réflexion stratégique afin de bien appréhender la nature de cetrumpisme dont rien ne dit qu’il s’arrêtera en 2020, et pour forger en retour, enfin, une vision stratégique pertinente.Les dégâts: des alliés inquietsLa présidence de Donald Trump a déjà fait mal à l’Europe – d’abord en ravivant la flamme de l’antiaméricanisme dans les démocraties libérales, de la France jusqu’à l’Allemagne. Plus généralement, les enquêtes d’opinion, comme celles du Pew Research Center, montrent une forte érosion de la confiance en l’Amérique parmi les alliés de celles-ci. En quelques semaines, l’image des États-Unis dans les opinions, qui s’était nettement améliorée sous Barack Obama par rapport aux années néoconservatrices de George W. Bush, s’est à nouveau dégradée. Le président américain a donné l’impression qu’il pouvait devenir l’ennemi – ce qui, dans l’histoire européenne, est hautement ironique compte tenu de l’engagement américain auprès des Alliés dans les deux guerres mondiales, du rôle des États-Unis dans la reconstruction de cette même Europe après 1945, et de sa protection par l’OTAN dans la Guerre froide.Mais le style Trump a heurté, d’abord par l’image qu’il a donnée lors de la campagne électorale, et ensuite dans ses premières déclarations. Sa propension à l’insulte (vis-à-vis des femmes, des étrangers et, entre autres, d’un journaliste handicapé), si elle était faite pour conforter un certain électorat américain, a inquiété la vieille culture sociale-démocrate européenne. Et sa délectation à incarner la caricature d’une Amérique que certains aiment détester – à partir d’une image de milliardaire grossier, inculte et misogyne, soutenant la possession d’armes à feu et flirtant avec la suprématie blanche – a rendu la tâche difficile à tous ceux qui défendent la relation avec Washington.Ensuite, Trump a touché aux garanties de sécurité américaines. En refusant de souscrire explicitement à l’article 5 du traité de l’OTAN, il a provoqué un sentiment de panique. Au malaise initial sur l’article 5 se sont ajoutées des critiques adressées aux alliés, et même des immixtions dans leurs affaires (soutenant le Brexit au Royaume-Uni, ou estimant que Boris Johnson ferait «un très bon Premier ministre»). Sa vulgarité envers Angela Merkel (refusant publiquement de lui serrer la main en mars 2017) et ses passes d’armes avec Emmanuel Macron tranchent avec le fait qu’il paraît s’entendre, du moins personnellement, avec Vladimir Poutine.Ce dernier point tout particulièrement inquiète, aussi bien de par l’éventuel rapprochement qu’il implique avec la Russie (contre laquelle les États-Unis sont censés protéger) que pour la déstabilisation de l’exécutif à Washington. L’enquête et le rapport Mueller sur les possibles collusions russes de l’actuel président (dont les conclusions font l’objet d’interprétations variées), la nature exacte de sa relation économique, politique et personnelle avec Moscou, le nombre étonnant de décisions «trumpiennes» qui paraissent aller dans le sens des intérêts russes (surtout la fragilisation de l’OTAN, l’encouragement à un Brexit dur et le détricotage de l’Union européenne), constituent un ensemble de plus problématiques. Trump joue-t-il la carte de Moscou contre Pékin, comme Nixon avait fait l’inverse jadis? Est-il plus simplement fasciné par la personne de Poutine? Est-il tenu à une complaisance vis-à-vis du Kremlin du fait de quelques dossiers compromettants? Quelle que soit la réponse, la question elle-même est inédite à ce niveau du pouvoir américain.Le sentiment que le locataire de la Maison-Blanche a plus d’appétence pour quelques émules ou partenaires autocratiques que pour ses alliés de longue date, qu’il est plus prompt à défendre le prince héritier saoudien à la suite de l’affaire Khashoggi qu’à soutenir les démocrates européens, qu’il est davantage intéressé par Kim Jong-un que par une discussion de fond sur l’OTAN, sont autant d’éléments d’ambiance. En envisageant l’adhésion du Brésil à l’alliance atlantique (au printemps 2019), il confirme à la fois son amateurisme politique, son mépris des affaires européennes, et son goût pour l’autoritarisme – de quoi inquiéter le Vieux continent. En jugeant l’alliance «obsolète», il fait peser le spectre d’un retrait américain, qui serait fatal à l’organisation et à la sécurité de l’Europe.Plus encore, et même si le président n’est pas censé s’en occuper lui-même, le soutien apporté par son entourage ou ses ex-coéquipiers aux partis et mouvements nationalistes en Europe pose question. La visite européenne de son ancien conseiller Steve Bannon, à la veille des élections de mai 2019, montre que l’intention existe d’y fédérer les mouvements populistes à travers sa fondation «Le mouvement». Il y a, de toute évidence, une volonté trumpienne de susciter la progression et la victoire d’un courant «dur» dans une Europe jugée trop molle. Contre qui? C’est là toute la question. Au début de la Guerre froide, l’influence américaine en Europe était plus forte encore, mais agissait en faveur d’une démarche libérale contre le régime communiste soviétique. Désormais, le président américain favorise les acteurs illibéraux, ceux-là mêmes qui sont également choyés par Moscou. Dans les capitales qui n’ont pas succombé à la tentation populiste, on s’en inquiète forcément.D’autant que ces pratiques d’immixtion dans les affaires nationales se conjuguent également sur le plan international, dans la parfaite logique de l’illibéralisme, lorsqu’il s’agit de s’opposer au multilatéralisme, aux traités internationaux et à tout dialogue institutionnalisé. Cette offensive est inquiétante pour l’Union européenne parce que c’est précisément sur ce terrain multilatéral que celle-ci était parvenue, notamment dans les négociations commerciales, à trouver une vitesse de croisière, tandis qu’elle reste plus maladroite dans les domaines stratégiques du hard power. La remise en cause par Trump – au mépris de l’engagement de l’État américain – des accords de la COP 21 et d’un certain nombre d’accords commerciaux, vient ruiner l’un des piliers de la tranquillité des européens, qui se sentaient en phase avec l’Amérique (avec laquelle ils avaient beaucoup travaillé) sur ces sujets.Bref, en revenant sur des ententes forgées de concert avec leurs alliés, et en déclarant leur hostilité au principe du dialogue multilatéral dans des instances libérales, les États-Unis déstabilisent profondément l’Europe: «un monde s’effondre», pour reprendre le tweet prémonitoire de l’ambassadeur de France à Washington, Gérard Araud, au soir de la victoire électorale de Donald Trump.Les opportunités: vers la prise de conscience des européensLIRE LA SUITE DANS GLOBAL BRIEF

Amyot d’Inville et Détroyat : deux noms de baptême pour les fusiliers marins

Blog Secret Défense - Fri, 28/06/2019 - 11:01
Les Groupements de fusiliers marins de Brest et de Toulon devraient porter les noms de deux Compagnons de la Libération.
Categories: Défense

Le général Bio Farina, de l’affaire Benalla à la Garde républicaine

Blog Secret Défense - Fri, 28/06/2019 - 10:25
Le Commandant militaire de l’Elysée prend le commandement de la Garde républicaine
Categories: Défense

SCAF : The New Franco-German Aircraft

CSDP blog - Wed, 26/06/2019 - 15:15

SCAF : Future Combat Air System

Tag: SCALF

Les risques d’arrêt cardiaque et la conduite à tenir

Aumilitaire.com - Tue, 25/06/2019 - 20:07
D’après les statistiques d’une étude menée en France en 2011, plus 60 000 cas de crises cardiaques ont été recensés entrainant ainsi le décès de 2400 personnes. De nos jours, environ 30% des décès sont causés par les accidents cardio-vasculaires. C’est quoi un arrêt cardiaque ? Il se manifeste par l’irrégularité et la rapidité d’un rythme cardiaque […]
Categories: Défense

Lune rouge

EGEABLOG - Tue, 25/06/2019 - 18:26

Je reste attaché à Lefranc, série mineure de Jacques Martin mais qui a été reprise par plusieurs auteurs. Elle est moins réputée que les Blake et Mortimer alors pourtant que la période est la même. DIsons qu'il s'agit là d'une ambiance française, avec moins de tweed mais plus de voitures de sports, et qu'on est plus proche de l'environnement historique quand B&M sont plus distants. Enfin, Lefranc touche plus à l'espionnage quand B&M s'inspire plus de la science fiction.

Évoquons tout de suite les points faibles : un exposé verbeux au cours des trois premières pages, une intrigue un peu poussive et pas très convaincante (Lefranc qui devient un auxiliaire de la CIA pour une opération d'infiltration montée en trois jours) : autrement dit, le scénario peine à convaincre, Corteggiani nous avait habitué à plus de soin. Après, montrer l'alliance spatiale entre la Russie et la Corée du Nord au milieu des années 1950 est quelque chose d'intéressant.... à défaut d'être crédible.

Il reste le dessin qui est très bien troussé, avec un Lefranc qui vieillit : on avait un jeune trentenaire, on sent qu'il est désormais quadra.... J'ai beaucoup apprécié la peine page du site de la fusée, qui rappelle évidemment Objectif lune.

Car voici au fond le grand bonheur de cette BD : ses nombreuses citations de Hergé (Objectif Lune mais aussi L'affaire Tournesol), Blake et Mortimer, voire Buck Danny pour les paysages d'avions dans la jungle.

Autrement dit, ce n'est pas une extraordinaire réussite mais un album plaisant, plus pour les dessins et les citations que pour l'histoire.

Lune rouge (Lefranc, chez Casterman)

O. Kempf

Categories: Défense

Traduction certifiée

Aumilitaire.com - Tue, 25/06/2019 - 07:49
Le terme « traduction certifiée » est parfois source de confusion – surtout quand il s’agit de savoir quand et pourquoi il n’est pas nécessaire. Pour comprendre quand et pourquoi une traduction certifiée peut être nécessaire, il est important de bien comprendre les différences entre les traductions certifiées et non certifiées. Qu’est-ce qu’une traduction certifiée […]
Categories: Défense

Comment bien ranger son sac militaire ? 

Aumilitaire.com - Mon, 24/06/2019 - 18:32
Le sac militaire fait partie intégrante de l’équipement militaire. Résistant au climat et à l’environnement, il ne doit pas être une entrave aux mouvements et aux déplacements. Pour cela, opter pour le bon sac et le remplir de façon adéquate sera indispensable. Voici comment s’y prendre ! Le sac à dos militaire  Il existe de nombreux formats de sacs militaires, cependant […]
Categories: Défense

Ministère des Armées : Isabelle Saurat, favorite pour le SGA

Blog Secret Défense - Mon, 24/06/2019 - 11:40
La ministre des Armées semble privilégier le choix d’une femme pour le poste de Secrétaire général de l’Administration
Categories: Défense

Le nouvel équilibre des DSI face à la transformation digitale

EGEABLOG - Fri, 21/06/2019 - 15:29

Victor Fèvre est un jeune professionnel du secteur de la cybersécurité mais aussi de la transformation digitale. Je suis heureux de l'accueillir. OK

La transformation digitale a révélé que toutes les organisations - publiques ou privées, peu importe leur cœur de métier ou leur business model - étaient concernées par le numérique : paradoxalement, cela a été souvent mal vécu par les directions des systèmes d'informations.

L'irruption des métiers dans ce qui était considéré comme le "pré carré" et le monopole des DSI a rarement été vue d'un bon œil et a plutôt eu tendance à déclencher des réflexes de repli sur soi et de rejet.

La transformation digitale était parfois stigmatisée comme mode, sans chercher à comprendre les mécanismes profonds de cette transformation (le mot digital est accessoire) et la formidable opportunité qu'elle pouvait représenter grâce à une nouvelle approche du numérique.

En effet, le cycle court des métiers en front-office, en prise directe avec les clients et mettant au cœur de la démarche la convivialité de l'expérience utilisateur, n'est pas aisément compatible avec la temporalité plus longue des experts techniques des projets informatiques.

Pourtant, il s'agit bien là de la clé du succès d'une organisation conduisant sa transformation digitale. C'est là où la posture des DSI est en pleine évolution par rapport à la situation d'il y a 2 ou 3 ans.

Aujourd'hui, les DSI se sont réinventées un rôle dans le nouvel équilibre économique et restent régaliennes pour la cybersécurité de leur organisation. La sécurité des systèmes d'information commence de plus en plus à être vécue non plus comme une contrainte, mais bien comme une opportunité "au profit" des organisations.

La vague des rançongiciels de 2017 a marqué les esprits et les PME se sont réellement rendues compte que les cybermenaces n'étaient pas l'apanage de services de renseignement, des militaires ou des OIV. Une cyberagression peut être mesurable et avoir un impact monétaire immédiat.

Ainsi, les DSI peuvent maintenant se positionner en tant que garants d'une cybersécurité considérée comme facteur de réussite et parfaitement indissociable de la transformation numérique de leur organisation. Mieux, elles gagnent en visibilité, en reconnaissance et en importance: ce n'est pas le bastion d'ingénieurs ou d'informaticiens "dans leur monde", mais leur travail est l'affaire de tous. Les DSI deviennent vraiment un acteur incontournable.

La maturité des DSI sur les nouveaux modèles économiques (SaaS, Cloud) augmente notablement et nous pouvons espérer que les entreprises ne s'y précipiteront pas à l'aveugle, mais en ayant bien réfléchi aux avantages qu'un système ou un modèle pouvait apporter à leur SI ou leur produit, tout en prenant les mesures adéquates pour limiter les risques associés.

V. Fèvre

Categories: Défense

(B2 Pro) Le commandement européen de transport aérien (EATC) : un modèle à suivre ? Entretien avec le général Laurent Marboeuf

Bruxelles2 - Wed, 19/06/2019 - 16:50
(B2) Le commandement européen du transport aérien (EATC) reste un modèle inégalé de coopération intégrée entre plusieurs pays européens qui ont décidé de mettre en commun leur flotte d'avions de transport (A400M, C130J, Casa C295...). Mais, depuis son inauguration, il y a presque dix ans, en 2010, la structure a bien évolué Le général Laurent […]

Cet article (B2 Pro) Le commandement européen de transport aérien (EATC) : un modèle à suivre ? Entretien avec le général Laurent Marboeuf est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

Categories: Défense

(B2 Pro) Pologne, Iran, désinformation, passeports : Vladimir Chizhov répond

Bruxelles2 - Wed, 19/06/2019 - 14:05
(B2) L'ambassadeur Vladimir Chizhov, représentant permanent russe à Bruxelles auprès de l'Union européenne, a réagi lundi (17 juin) sur les sujets chauds entre l'Europe et son pays Les relations UE-Russie sont « agonisantes », a martelé le diplomate qui a répondu à quelques questions d'actualité lors de sa conférence de presse annuelle sur les questions […]

Cet article (B2 Pro) Pologne, Iran, désinformation, passeports : Vladimir Chizhov répond est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

Categories: Défense

(B2 Pro) Un hussard parachutiste prend le commandement de la mission EUTM RCA à Bangui

Bruxelles2 - Wed, 19/06/2019 - 11:40
(B2 - exclusif) Après une année et demi à Bangui, le général de brigade portugais Hermínio Teodoro Maio va passer le relais, à partir du 8 juillet, du commandement de la mission de l'UE de formation de l'armée centrafricaine (EUTM RCA), à un homologue français, le général de brigade Éric Peltier, selon le texte de […]

Cet article (B2 Pro) Un hussard parachutiste prend le commandement de la mission EUTM RCA à Bangui est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

Categories: Défense

(B2 Pro) Les députés en charge des dossiers pour la majorité ‘gouvernementale’

Bruxelles2 - Wed, 19/06/2019 - 09:02
(B2) Les quatre groupes du Parlement européen (PPE, S&D, Renew Europe, Verts) préparent des priorités stratégiques, qui devrait être la base commune programmatique de la majorité future. Cinq groupes de travail, dont deux concernent les affaires diplomatiques, de défense et de sécurité, ont été mis en place. Deux députés de chaque groupe y ont été […]

Cet article (B2 Pro) Les députés en charge des dossiers pour la majorité ‘gouvernementale’ est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

Categories: Défense

(B2 Pro) Venezuela. Face à l’urgence humanitaire, il est temps de négocier répètent les Européens

Bruxelles2 - Wed, 19/06/2019 - 08:57
(B2) Dans une déclaration de la Haute représentante publiée au nom de l'Union européenne (*), les Européens expriment leur « grave préoccupation devant la détérioration de la situation politique et humanitaire au Venezuela » Alors que le bras de fer entre le président Nicolas Maduro et son rival de l'opposition Juan Guaido, qui s'est auto-proclamé […]

Cet article (B2 Pro) Venezuela. Face à l’urgence humanitaire, il est temps de négocier répètent les Européens est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

Categories: Défense

(B2 Pro) La crise politique en Moldavie est terminée. Les Européens poussent un ouf ! de soulagement

Bruxelles2 - Tue, 18/06/2019 - 18:58
(B2) Le point n'était pas à l'agenda mais les dernières évolutions ont poussé les ministres des Affaires étrangères des 28, réunis à Luxembourg lundi (17 juin), à saluer « une évolution positive » en Moldavie permettant une normalisation de la situation politique  Après les élections de février dernier, la Moldavie a vécu des semaines de tensions […]

Cet article (B2 Pro) La crise politique en Moldavie est terminée. Les Européens poussent un ouf ! de soulagement est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

Categories: Défense

Bourget 2019 - Embarquez à bord du futur hélicoptère Guépard en 360°

RP Defense - Tue, 18/06/2019 - 16:55
18.06.2019 Ministère des Armées A l’occasion de la 53ème édition du Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace, nous vous proposons de découvrir la maquette grandeur réelle du futur hélicoptère interarmées léger, exposée sur le stand du ministère...
Categories: Défense

Bourget 2019 - Embarquez à bord du futur hélicoptère Guépard en 360°

RP Defense - Tue, 18/06/2019 - 16:55
18.06.2019 Ministère des Armées A l’occasion de la 53ème édition du Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace, nous vous proposons de découvrir la maquette grandeur réelle du futur hélicoptère interarmées léger, exposée sur le stand du ministère...
Categories: Défense

(B2 Pro) Facilité européenne de paix : débat bloqué. Un mouvement attendu de la Haute représentante et du SEAE

Bruxelles2 - Tue, 18/06/2019 - 14:30
(B2 à Luxembourg) Les débats sur la mise en œuvre d'une Facilité européenne de paix restent bloqués. Selon les éléments obtenus par B2, rien n'a vraiment avancé lors de ce Conseil 'jumbo' des Affaires étrangères et de la Défense Les conclusions adoptées lundi (17 juin) sont en effet plutôt elliptiques : « les États membres […]

Cet article (B2 Pro) Facilité européenne de paix : débat bloqué. Un mouvement attendu de la Haute représentante et du SEAE est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

Categories: Défense

Pages