Le Monde / Politique

Devant l’Assemblée des communautés de France, la ministre auprès du ministre de l’intérieur, Jacqueline Gourault, a admis des maladresses.

Le cinéaste ukrainien emprisonné a remis un message à la presse où il explique être « forcé de mettre un terme à [sa] grève de la faim » le 6 octobre.

La Cour de justice de l’Union européenne estime, dans une décision rendue jeudi, que la France a manqué à ses obligations dans ce dossier.

En visite sur l’île de Saint-Martin, le 29 septembre, un an après le passage de l’ouragan Irma, Emmanuel Macron s’est adonné à son passe-temps favori : la distribution de gestes d’affection.

Une première ourse avait été relâchée jeudi matin, en dépit de l’opposition de certains éleveurs et élus locaux.

L’annonce devrait être faite « en début de semaine » prochaine. L’exécutif devrait profiter du remplacement de Gérard Collomb pour remercier des ministres « fatigués ».

Editorial. Emmanuel Macron, qui a besoin de l’appui du Sénat pour voter la révision constitutionnelle, n’évoque désormais plus la baisse du nombre de parlementaires.

L’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron a été interrogé vendredi par les juges, pour la première fois depuis le début de l’affaire.

Cet ajout, fait le 13 septembre, a été demandé par Emmanuel Macron pour « marquer les anniversaires liés à Charles de Gaulle », reconnaît l’Elysée.

Seuls 18 % des conseils communautaires comptent plus de 40 % de femmes, alors qu’ils étaient 24 % avant les fusions consécutives à la loi NOTRe de 2015.

Les députés ont validé la vente d’ADP (Aéroports de Paris) et de la Française des jeux, ainsi que la cession de titres Engie. Mais beaucoup d’inconnues demeurent.

La mesure, promesse de campagne d’Emmanuel Macron, n’apparaît pas dans le document transmis aux partenaires sociaux par l’exécutif.

Dans son discours, jeudi, le chef de l’Etat n’a toutefois pas évoqué la baisse du nombre de parlementaires, point de blocage avec le Sénat.

Des intérêts agrochimiques ont pu obtenir le texte de la députée écologiste avant ses collègues.

Celui qui fut l’un des premiers soutiens du chef de l’Etat a déclaré jeudi qu’il se présenterait sous une étiquette locale pour « rassembler ».

Pour l’essayiste Alain Lefebvre, le président de la République est en train de manquer une occasion historique de s’inspirer des social-démocraties nordiques.

Dans une tribune au « Monde », le journaliste et essayiste Philippe Frémeaux souligne que le chef de l’Etat vit une double crise : à force de concentration du pouvoir et de promesses non tenues, il est de plus en plus seul.

Selon le politologue Luc Rouban, l’idée d’une grande convergence des électeurs vers un centre libéral, high-tech et mondialisé, qui devait être le socle d’une nouvelle pratique du pouvoir, n’était pas fondée.

A l’occasion des 60 ans de la Constitution, notre éditorialiste Françoise Fressoz estime dans sa chronique que la Ve République a su s’adapter, mais que le régime mérite d’être questionné.

Dans une tribune au « Monde », le directeur général de la Fondation Jean-Jaurès dit que l’enjeu de la crise n’est pas le remaniement, mais l’exercice du pouvoir.