Fermeture des bars et des salles de sport, instauration d'une "jauge" de densité... Le préfet de police de Paris a annoncé, lundi, une série de nouvelles restrictions pour faire face à la progression de l'épidémie de Covid-19 à Paris et dans la petite couronne. L'épidémiologiste Antoine Flahaut apporte des éclairages sur ces nouvelles mesures gouvernementales.
Donald Trump n'est pas une exception. Les présidents français aussi aiment jouer les cachottiers quand ils sont malades. Récit.
À Marseille, le conseil municipal s'est prononcé lundi en faveur de la création d'un Conseil scientifique sur le Covid-19 propre à la ville. L'objectif est de "faire en sorte que des personnalités marseillaises puissent discuter et faire des propositions plutôt que de laisser faire l'État", a précisé la deuxième adjointe Samia Ghali, qui défend le projet.
Le Parlement examine ce lundi un projet de loi sur les néonicotinoïdes. Interdits depuis 2018, car néfastes pour les abeilles, ces insecticides pourraient être réintroduits temporairement pour sauver la culture de la betterave, utilisée pour la fabrication du sucre. Les écologistes sont vent debout.
Les députés ont voté dans la nuit de lundi à mardi la disposition permettant la réintroduction temporaire des néonicotinoïdes pour sauver la filière betterave.
Le "non" obtient 53,26% des voix selon les chiffres publiés par le ministère des Outre-Mer après dépouillement de l'ensemble des bureaux de vote.
Député de l'Isère et référent Transition écologique de LREM, Jean-Charles Colas-Roy explique pourquoi il ne votera pas le projet de loi "néonicotinoïdes" du gouvernement.
A force de se concentrer entre les mêmes mains, l'exercice du pouvoir tend à se psychologiser.
Le "non" à l'indépendance est en recul par rapport en 2018, mais arrive en tête ce dimanche avec 53,26 % des voix, selon les résultats définitifs.
L'ex-Premier ministre est désormais chevalier de la Légion d'honneur. Il en a le titre, il attend que le président le décore. Mais l'histoire n'est pas si simple. Récit.
Une proposition de loi en ce sens devait être débattue le 8 octobre à l'Assemblée nationale, à l'initiative du groupe Ecologie, démocratie et solidarité. Une idée qui ne fait pas l'unanimité.
Ce vendredi, le président était attendu. Lui si souvent flou sur le communautarisme, le séparatisme et la laïcité, a mis pleine lumière sur son angle mort.
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