L'eurodéputé et membre dirigeant du Rassemblement national Nicolas Bay a annoncé mercredi son ralliement à Éric Zemmour en fustigeant les "revirements et reculades" de Marine Le Pen, puis a porté plainte jeudi contre le Rassemblement national pour diffamation.
Au lendemain de la parution du rapport de la Cour des comptes, quatre parlementaires de droite se sont retrouvés au QG de campagne pour dénoncer la situation «extrêmement préoccupante» des finances de l'État.
Pas encore déclaré candidat, le chef de l'Etat agit comme si de rien n'était. Un jeu dangereux : la campagne a horreur du vide.
Chaque semaine, un membre de notre think tank rebondit sur un thème de campagne. Mais s'agissant du numérique, c'est plutôt l'absence de proposition et la pauvreté du débat qui fait réagir.
Emmanuel Macron reste talonné par le trio Le Pen-Pécresse-Zemmour, dans un mouchoir de poche, selon le dernier sondage Elabe pour L'Express et BFM TV, en partenariat avec SFR.
En nourrissant l'individualisation de nos sociétés, les réseaux sociaux et certaines émissions TV permettent à une forme de brutalisation de progresser. Inquiétant.
Le président de l'Assemblée nationale répond à ceux qui l'accusent d'avoir choisi une personnalité liée au classement sans suite d'une plainte dont il avait fait l'objet en 2017.
La ministre Jacqueline Gourault, la magistrate Véronique Malbec ainsi que le conseiller d'Etat François Seners ont été proposés pour siéger au Conseil constitutionnel. Une vraie démarche politique.
Après Gilbert Collard, Jérôme Rivière et Stéphane Ravier, la zemmourie orchestre savamment le ralliement d'autres élus frontistes. Le nom de Nicolas Bay est de plus en plus cité.
Le patron des Hauts-de-France s'est mué en conseiller de la candidate LR à l'élection présidentielle. La cohabitation fonctionne dans ce jeu d'intérêts.
En panne dans les sondages, la gagnante de la Primaire populaire a perdu ce lundi le soutien du Parti radical de gauche (PRG). Le début de la fin ?
Pourquoi acceptons-nous depuis si longtemps l'occultation de nos anciens ? Pour notre chroniqueur Sylvain Fort, le scandale Orpea est celui d'une économie et d'une politique.
Le président compte sur ses ministres venus de la droite pour affaiblir Valérie Pécresse. Sous le regard goguenard, mais pas toujours, d'un certain Edouard Philippe.
«Il faut montrer que nous sommes là et prêts» à faire campagne, explique le secrétaire d'État Clément Beaune.
La candidate LR a délivré ce dimanche un discours à tonalité identitaire pour son premier grand meeting. Sans vraiment s'extraire d'un classicisme de droite.
Dans un entretien accordé au JDD, juste avant son premier grand meeting de campagne, la candidate de la droite invite ses adversaires à ne pas sous-estimer sa solidité et sa détermination. «Rien» ne la détournera de son chemin.
La multiplication des agressions contre les élus ne se limite pas aux atteintes contre les parlementaires. Sur l'année écoulée, plus de 600 maires ont été agressés verbalement ou physiquement.
Dans les rangs de la majorité, personne n'a de mots assez durs pour qualifier le mouvement qui tente de bloquer Paris ce samedi. Les oppositions rechignent également à le soutenir, mais pointent la responsabilité du chef de l'État.
Le mouvement hétéroclite, qui s'est donné rendez-vous ce week-end à Paris, divise les candidats à l'élection présidentielle.
Directeur de campagne du communiste Fabien Roussel, l'élu parisien règle quelques comptes avec les écologistes qui accusent son candidat d'être "de droite".
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