Après la Fête de la musique, prélude à l’ouverture des festivals d’été, après deux ans de blocages et de contraintes, des questions surgissent sur le devenir des différentes expressions culturelles. À l’image de la Fête de la musique, des politiques de soutien aux pratiques et aux acteurs musicaux permettront de répondre aux attentes populaires.
rédactrice en cheffe des Sportives
Les chiffres sont là, entêtants. Selon le CNC, seulement 25,9 % des films français produits en 2019 ont été réalisés, ou coréalisés, par des femmes. Et elles ne représentent que 38 % des personnages principaux de longs métrages (1). Nous manquons d’histoires racontées par « l’autre partie de l’humanité ». Les modèles féminins inspirants nous font cruellement défaut. À toutes et tous.
En ce premier quart du XXI e siècle, on ne joue quasiment plus le théâtre de Bertolt Brecht (1898-1956). Dans un monde terriblement changé en ses desseins collectifs, il demeure un classique qui ne dort que d’un œil. Ses poèmes, un hasard malicieux les rappelle, par deux fois, à notre bon souvenir. Va paraître un livre-disque, intitulé De quoi l’homme vit-il ? (1).
Il y a quelques jours, j’ai regardé une interview d’Alizée, enfant enchaînée au filet de Roland-Garros. Elle a 23 ans, appartient au collectif Dernière Rénovation. Sur son tee-shirt, le compte à rebours du nombre de jours restants, selon le Giec : 1 000 et quelques.
Avec des effectifs et des moyens en chute libre, les inspecteurs du travail ne peuvent plus mener à bien leur mission de service public. Conséquence : une situation de quasi-impunité pour les entreprises. Exemple en Seine- et-Marne, où le taux de cette vacance organisée de postes dépasse les 40 %.