Dix triangulaires, deux duels et une quadrangulaire. Les têtes de liste des 13 régions ayant fait plus de 5% au premier tour avaient jusqu'à mardi 18 heures pour se prononcer : fusion, retrait, soutien...
Le FN continue sa progression électorale car il est aujourd'hui en position de conquérir au moins deux régions sur treize. Le parti a peut-être bénéficié de l’émotion qui frappe la France depuis les attentats du 13 novembre.
Les soirées électorales sont longues, et la fatigue peut se faire sentir. Sur LCI, lors de l'annonce des résultats de la région Bourgogne-Franche-Comté, le candidat "monsieur Machin-Chose", alias François Sauvadet (LR-UDI), est crédité de 23,8% des voix.
Malgré la consigne du bureau national du PS, le candidat socialiste en Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne, Jean-Pierre Masseret, a confirmé lundi qu'il ne se retirerait pas au second tour pour faire barrage au FN.
A l'heure où G. Mordillat et J. Prieur entreprennent de nous éclairer sur les origines du Coran par une série d'émissions d'Arte, on a le sentiment que des tabous commencent à tomber au sein de l'élite musulmane d'Europe. De plus en plus de voix s'élèvent non pour simplement déclarer que la barbarie de l'Etat islamique n'est pas l'islam réel, mais pour dénoncer la mainmise du wahhabisme saoudien sur l'islam sunnite
Pour faire barrage au Front national, le PS a annoncé dès dimanche soir le retrait de ses listes en PACA et en Nord-Pas-de-Calais-Picardie. Dans le Grand Est, le candidat PS, Jean-Pierre Masseret, ne compte pas se retirer, malgré la demande en ce sens de Jean-Christophe Cambadélis.
Au lendemain du premier tour des régionales marqué par une percée historique du Front national, en tête dans six régions, les éditorialistes ont lundi une double interrogation : comment en est-on arrivé là ? Que faire au second tour ?
INFOGRAPHIE - Six listes sont en mesure de se maintenir au second tour des élections régionales.
INFOGRAPHIE - La gauche, la droite et l'extrême droite, arrivée en tête à la surprise générale, estiment tous qu'ils peuvent remporter la région.
Confronté à un score historique du Front national, le PS a décidé de retirer ses listes dans trois régions où il est arrivé troisième. Mais chez les Républicains, Nicolas Sarkozy, ne veut pas de "front républicain" contre le FN.
Le premier tour des élections régionales 2015 a été marqué dimanche par un score historique du FN qui remporterait six régions. Nicolas Sarkozy a annoncé qu'il n'y aurait ni fusion, ni retrait des listes Les Républicains.
Le résultat de la patronne du FN a été accueilli par une Marseillaise dans la salle communale, l'Espace François-Mitterrand, où elle réunissait ses troupes.
Le FN est arrivé en tête du premier tour des élections régionales, dimanche, obtenant un score historique. Marine Le Pen en Nord-Pas-de-Calais-Picardie et Marion Maréchal-Le Pen en Provence-Alpes-Côte-d'Azur obtiennent plus de 40 % des voix.
Trois semaines après les attentats de Paris, les Français sont appelés à voter, dimanche, au 1er tour des régionales dans un climat d'incertitudes sur les résultats des trois grandes forces politiques. À 17 h, la participation s'élevait à 43,01 %.
Mohamed S., un proche d'Hasna Aït Boulahcen et du logeur de Saint-Denis, Jawad Bendaoud, a été à son tour mis en examen, samedi, dans l'enquête sur les attentats de Paris. Il n'est toutefois pas soupçonné d'avoir joué un rôle actif dans les attaques.
Une exposition de photos sur "l’universalité du sentiment amoureux", représentant notamment des couples homosexuels, a été taguée d'inscriptions homophobes, vendredi soir, à Toulouse. Une dégradation que dénonce l’artiste, Olivier Ciappa.
AUVERGNE-RHÔNE-ALPES - Le député LR a réussi l'union de la droite et du centre dès le premier tour. Le report des voix sera l'un des enjeux de l'entre-deux-tours.
Vendredi, le président s'est affiché en «chef de guerre», avec un déplacement surprise sur le Charles-de-Gaulle. Fort d'une popularité dopée, il veut tenter «d'enjamber» la défaite annoncée pour le PS.
NORD-PAS-DE-CALAIS-PICARDIE - La présidente du Front national est créditée de 40 % d'intentions de vote. Xavier Bertrand (LR) et Pierre de Saintignon (PS) refusent, pour l'instant, une fusion de leurs listes au second tour.
CENTRE-VAL DE LOIRE - Le président du groupe UDI à l'Assemblée semble en pole position pour ravir la région aux socialistes. Mais l'issue du scrutin pourrait être plus incertaine que prévu.
Pages