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Union européenne

25 avril 2017- Réunion entre la Grèce et ses créanciers à Athènes

Toute l'Europe - Wed, 19/04/2017 - 17:40
Des missions de l'Union européenne et du Fonds monétaire international (FMI) se rendront à Athènes le 25 avril. Objectif : finaliser un paquet de réformes accepté par la Grèce afin de débloquer une nouvelle tranche de prêt.
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Feu vert du Parlement britannique à des législatives anticipées

RFI (Europe) - Wed, 19/04/2017 - 17:28
Sans surprise, la Chambre des Communes britannique a voté ce mercredi 19 avril à une très large majorité en faveur d'élections législatives anticipées, par 522 voix contre 13. Avec le soutien de l’ensemble des députés, la Première ministre Theresa May prévoit donc un scrutin le 8 juin prochain.
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Marine Le Pen, l'Europe à rebours

Toute l'Europe - Wed, 19/04/2017 - 17:00
"Il faut faire l'inverse de ce que fait l'Union européenne". Ainsi s'exprimait la candidate d'extrême-droite, lors du dernier Salon de l'agriculture. Des propos qui visaient ici le système d'aides de la Politique agricole commune, mais qui peuvent aussi résumer à eux seuls l'ensemble de son projet européen.
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Affaire Gurtel: Mariano Rajoy appelé à témoigner devant la justice espagnole

RFI (Europe) - Wed, 19/04/2017 - 16:55
Pour la première fois, ce mercredi 19 avril, un président de gouvernement espagnol va être appelé en tant que témoin dans le cadre d’un procès pour corruption concernant son propre parti, le Parti Populaire. Cette nouvelle a provoqué la stupéfaction chez Mariano Rajoy et les siens. Ce coup de théâtre a d’immédiates répercussions sur le mandat du conservateur espagnol.
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Brexit: pour Juncker, les négociations réelles commenceront après les élections

RFI (Europe) - Wed, 19/04/2017 - 14:48
Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker estime que le début des négociations du Brexit aura lieu après les élections anticipées du 8 juin au Royaume-Uni, proposées par la Première ministre Theresa May, a indiqué mercredi un porte-parole de l'institution.
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Michel Wieviorka : Le populisme est "un discours qui prétend parler d'en bas pour dénoncer le monde d'en haut"

Toute l'Europe - Wed, 19/04/2017 - 14:00
Après le vote en faveur du Brexit au Royaume-Uni, ou la victoire de Donald Trump aux Etats-Unis, les partis politiques dits "populistes" ont le vent en poupe au sein des pays occidentaux et européens. Quelles sont les particularités des "populismes" et comment expliquer une telle ascension au pouvoir ? A l'approche de l'élection présidentielle française, éclairages de Michel Wieviorka, directeur d'études à l'EHESS et président de la Fondation Maison des Sciences de l'Homme, qui répond aux questions de Toute l'Europe.
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[Revue de presse] Royaume-Uni : surprise après l'annonce d'élections législatives anticipées

Toute l'Europe - Wed, 19/04/2017 - 09:44
Seulement trois semaines après le déclenchement du Brexit, la Première ministre britannique, Theresa May, opère un nouveau tour de force en convoquant des élections législatives anticipées pour le 8 juin prochain. Un choix que devrait approuver le Parlement britannique dès aujourd'hui, mercredi 19 avril. En bonne posture dans les sondages, Mme May fait le pari de se doter d'une majorité forte et stable pour affronter les futures négociations du Brexit.
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Serbie: les manifestations contre Aleksandar Vucic se poursuivent

RFI (Europe) - Wed, 19/04/2017 - 08:52
Seizième jour de manifestation en Serbie pour les opposants au nouveau président Aleksandar Vucic élu le 2 avril avec 55% des voix. Les manifestants se sont réunis dans les trois villes les plus importantes de Serbie, en particulier à Belgrade, la capitale du pays.  
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Une campagne sans vote : la présidentielle des étrangers communautaires

Toute l'Europe - Wed, 19/04/2017 - 07:00
À quelques jours du premier tour de la présidentielle, seraient-ils les oubliés de la campagne ? Ils représentent près de 1,4 million d’individus, issus principalement du Portugal, d’Espagne et d’Italie. Les "étrangers communautaires". Des personnes originaires d’États membres de l’Union européenne et résidant en France. Dans le contexte de la campagne, ils font face à une impasse : inéluctablement affectés par le résultat de cette dernière, ils ne pourront voter les 23 avril et 7 mai prochains. De ce fait, comment perçoivent-ils les élections ? Nous sommes allés à la rencontre de certains d'entre eux, recueillir leurs points de vue, leurs attentes, ainsi que leurs appréhensions quant à ce scrutin majeur de la vie politique française.
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Référendum turc: après la victoire du oui, une opposition divisée et affaiblie

RFI (Europe) - Tue, 18/04/2017 - 22:09
L’opposition conteste toujours les résultats du référendum de dimanche sur le régime présidentiel, remporté par le oui à 51,4 %. Mardi 18 avril, le CHP, principal parti d’opposition, a officiellement déposé un recours pour l’annulation du scrutin en raison des irrégularités. Et dans les rues des grandes villes, pour la troisième soirée consécutive, des manifestations ont eu lieu pour dénoncer les fraudes électorales. Mais l’opposition à Recep Tayyip Erdogan n’a pas de stratégie commune pour lutter contre ce qu’elle estime être un scrutin frauduleux.
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Pour l’UE, les élections britanniques ne changeront rien aux négociations

RFI (Europe) - Tue, 18/04/2017 - 21:27
Au Royaume-Uni, des élections législatives anticipées auront lieu le 8 juin. Normalement, ces législatives devaient se tenir en 2020. L'objectif, a expliqué la Première ministre britannique Theresa May, c'est de se doter d'une majorité parlementaire forte et stable durant les négociations du Brexit. Du côté de l'Union européenne, on affirme que ces élections anticipées ne modifient pas le calendrier des négociations entre Bruxelles et Londres.
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François Fillon, un Européen de raison ?

Toute l'Europe - Tue, 18/04/2017 - 17:00
Pour devenir président de la République, il faut être pro-européen. Jusqu'à cette année du moins, cette idée est vraie. Et François Fillon, partisan du "non" au traité de Maastricht en 1992, la connaît. "Euro-critique", le candidat des Républicains propose ainsi un approfondissement de l'intégration, notamment en matière monétaire, même si, dans le même temps, il multiplie les attaques contre la Commission et la réglementation européennes. En cas de victoire, rendue incertaine en raison de ses turpitudes judiciaires, M. Fillon entend remettre l'intergouvernemental et le franco-allemand au centre du jeu européen.
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20 avril 2017 - Rencontre entre Antonio Tajani et Theresa May

Toute l'Europe - Tue, 18/04/2017 - 14:30
Le 20 avril, Antonio Tajani rencontrera la Première ministre britannique Theresa May à Londres. Le président du Parlement européen présentera à Mme May la position de l'institution sur le Brexit.
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Royaume-Uni: Theresa May appelle à des législatives anticipées le 8 juin

RFI (Europe) - Tue, 18/04/2017 - 13:04
La Première ministre britannique Theresa May a appelé ce mardi 18 avril à la tenue d'élections législatives anticipées le 8 juin lors d'une annonce surprise devant sa résidence de Downing Street, trois semaines après le déclenchement du Brexit. A Bruxelles, on souligne que cela ne change rien aux plans des Vingt-Sept.
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[Revue de presse] Référendum turc : après la victoire du "oui", les tensions entre l'UE et la Turquie s'intensifient

Toute l'Europe - Tue, 18/04/2017 - 12:01
Dimanche 16 avril, la population turque était appelée à se prononcer sur un projet de réforme constitutionnelle octroyant les pleins pouvoirs à leur président Recep Tayyip Erdogan. Le "oui" est arrivé légèrement en tête (51,3%), mais ce résultat est contesté par l'opposition et mis en doute par les observateurs européens. Galvanisé par sa "victoire", le président turc compte maintenant soumettre l'adhésion à l'UE et la peine de mort à de nouveaux référendums, ce qui marquerait une réelle rupture avec l'Union européenne.
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Turquie: plus fort que jamais, Erdogan balaie les critiques étrangères

RFI (Europe) - Tue, 18/04/2017 - 08:55
Recep Tayyip Erdogan est plus que jamais renforcé, après la courte victoire du « oui » au référendum constitutionnel lui attribuant davantage de pouvoir. Le président turc a paradé, lundi 17 avril devant ses partisans dans les rues de la capitale turque, profitant aussi de ce moment de gloire pour tacler les observateurs étrangers critiques sur le scrutin de dimanche.
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Migrants: «Plus l'Europe hausse le ton, plus le marché favorise les passeurs»

RFI (Europe) - Tue, 18/04/2017 - 06:47
Au moins vingt migrants qui avaient quitté la Libye dans l’espoir de gagner l’Europe en bateau ont péri en mer Méditerranée, ce dimanche 16 avril. Un photographe de l’agence Reuters qui était à bord du Phoenix, un bateau de l’ONG Moas qui tentait de leur venir en aide, dit avoir compté vingt corps. Le nombre de migrants qui passent par la Libye pour rejoindre l’Europe ne cesse d’augmenter. Cette hausse est aussi due à la situation politique en Europe, selon Samer Haddadin, le responsable du Haut-Commissariat aux réfugiés (HCR) à Tripoli.
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Turquie: les opposants au référendum poursuivent la contestation europe-RFI

RFI (Europe) - Tue, 18/04/2017 - 00:46
Au surlendemain du référendum sur le régime présidentiel, remporté par le oui avec 51,4% des voix, les contestations se poursuivent. Deux partis d'opposition ont lancé une procédure pour faire annuler le scrutin. Les observateurs internationaux dénoncent un processus injuste. Et dans la rue, en dépit de l'état d'urgence, des militants du non ont manifesté lundi soir pour un deuxième soir d'affilé, contre les fraudes présumées lors du décompte des voix.
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François Hollande, l’homme sans conviction (européenne)

Coulisses de Bruxelles - Sun, 16/04/2017 - 18:47

REUTERS/Geoffroy Van der Hasselt

Tous les présidents de la République française ont laissé leur marque sur l’Europe, pour le meilleur et, parfois, pour le pire. Tous ? Non, un seul s’est distingué par sa vacuité, François Hollande. Celui qui se présentait en héritier de Jacques Delors ne laissera, au mieux, qu’une note de bas de page dans l’histoire de la construction communautaire. Pendant cinq ans, le chef de l’État aura esquivé le sujet européen avec une constance qui force l’admiration, même s’il en fut un commentateur avisé, dénonçant régulièrement le «manque de projet» et la «frilosité» de l’Union ou encore le «repli sur soi» des États. Une analyse qui, de la part du responsable de l’une des principales puissances européennes et mondiales, aurait dû appeler des initiatives de relance. C’est ce qu’il a d’ailleurs régulièrement promis dans les journaux français en proposant de « fédéraliser » la zone euro autour d’un gouvernement, d’un parlement et d’un budget afin de constituer un «noyau dur, une avant-garde, un premier cercle». Mais il en est resté aux effets d’annonce. François Hollande aura été un Européen velléitaire.

Réorienter l’Europe

Lors de son élection, en 2012, rares étaient ceux qui se faisaient des illusions sur sa capacité à réformer la France, car cela supposait de bousculer les certitudes d’une gauche prisonnière de ses vieux logiciels. Mais, tout le monde lui faisait crédit de ses convictions européennes, lui qui fut longtemps proche de Jacques Delors, président de la Commission entre 1985 et 1995 et père de l’euro, au sein du club Témoin (créé en 1993). D’ailleurs, durant toute sa campagne, il avait promis, s’il était élu, de «réorienter» l’Europe afin, notamment, de lui donner un contenu social et fiscal, de développer la solidarité financière entre les Etats via le lancement d’emprunts européens, de démocratiser la zone euro, le tout afin de combler le fossé qui se creusait entre les citoyens et le projet européen. Mais cet ambitieux programme n’a jamais pris la forme d’une proposition en bonne et due forme, qu’elle soit proprement nationale ou, mieux, franco-allemande. Pourtant le chef de l’État a multiplié les annonces : au printemps 2013, à l’été 2014 puis en juillet 2015, après que la zone euro eut frôlé le Grexit, il s’est engagé à prendre une « initiative » afin de relancer une intégration communautaire qui donnait du gite, encouragé par ses ministres les plus europhiles. Mais à chaque fois, ses promesses se sont perdues dans les sables.

Bataillait-il au moins dans les couloirs pour faire avancer l’Europe ? Même pas. Une anecdote résume bien l’Européen François Hollande. La scène se passe en décembre 2012, alors que Herman Van Rompuy, alors président du Conseil européen, tente d’obtenir un mandat des chefs d’État et de gouvernement pour travailler à des scénarios d’approfondissement de la zone euro. Il veut notamment pouvoir proposer un budget qui lui serait propre et lui donner une capacité d’emprunt, deux idées défendues par le chef de l’État pendant sa campagne. Alors que Van Rompuy insiste auprès d’une Angela Merkel inflexible, lors d’une trilatérale, Hollande le coupe brutalement : «Herman, tu as entendu Angela : elle ne veut pas. Alors, arrête !» Le président du Conseil européen n’est toujours pas revenu d’avoir ainsi été lâché en pleine campagne par « l’héritier de Jacques Delors »… Hollande n’avait tellement pas de pensée européenne qu’il n’a jamais pris la peine, contrairement à tous ses prédécesseurs, de recevoir la presse française accréditée à Bruxelles en « off » pour expliquer le sens de son action, alors que dans le même temps il se confiait de longues heures à leurs confrères parisiens…

Aux côtés de la Grèce

Les quelques fidèles qui lui restent font valoir que son bilan n’est pas si négatif. Après tout, n’a-t-il pas bataillé pour empêcher un Grexit que l’Allemagne souhaitait, ne s’est-il pas rangé aux côtés de la Commission pour obtenir la mise en œuvre de l’Union bancaire ou soutenir le « plan Juncker » d’investissement ? Tout cela est vrai, mais personne n’a jamais prétendu que Hollande ait été europhobe. Cela étant, au regard de ce maigre bilan, on peut s’interroger sur les convictions réelles de l’homme. Quelqu’un qui l’a très bien connu m’a affirmé qu’en 2004, alors qu’il était premier secrétaire du PS, il se serait longuement demandé s’il devait ou non soutenir le Traité constitutionnel européen. Il n’aurait tranché que par tactique en faveur du oui.

Les faits semblent donner raison à cette source. Longtemps, on a cru qu’il redoutait d’affronter la question européenne pour éviter de rouvrir les plaies du référendum de 2005 sur le traité constitutionnel. On se souvient, en effet, qu’une partie du PS, dont Laurent Fabius, n’a pas respecté le résultat du référendum interne et a fait campagne pour le non. Hollande, homme de compromis, n’a jamais sanctionné ces nonistes rebelles et l’Europe est restée une plaie béante. Il semblait dès lors logique qu’il refuse de se lancer dans une modification des traités européens, ce qui impliquerait un référendum avec tous les risques de divisions que cela comporterait pour les socialistes. Or sans réécriture des traités, aucun approfondissement n’est possible. Mais la période 2015-2016 montre que cette justification est un peu courte : Hollande n’a pas hésité a diviser les socialistes et la France sur la question des libertés publiques (par exemple la déchéance de nationalité) ou de l’économie. Ce n’est donc pas d’une question de courage qu’il s’agit, mais d’une absence de convictions réelles sur l’Europe. On ne se bat que pour ce à quoi l’on croit.

Occasions manquées

Le quinquennat de François Hollande restera donc comme celui des occasions manquées, voire comme celui qui aura gravement miné le projet européen. Car son refus de s’emparer du sujet aura laissé le champ libre aux eurosceptiques et aux europhobes. Or Emmanuel Macron, qui a fait de l’Europe l’un des axes de sa campagne présidentielle, montre, comme Daniel Cohn-Bendit avant lui, qu’une partie non négligeable de l’opinion publique est avide d’entendre un message positif sur la construction communautaire, la dernière utopie pacifique de la planète. L’Europe aurait pu être la clef d’un second mandat, il ne l’a pas compris.

N.B.: article paru dans l’Hémicycle n° 493

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