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Union européenne

Migrants de l'Aquarius: une mission de l'Ofpra prête à partir à Valence

RFI (Europe) - Mon, 18/06/2018 - 10:48
Le convoi composé de trois bateaux chargés de migrants dont l’Aquarius, affrété par SOS-Méditerranée et MSF, est arrivé dimanche à Valence avec ses 630 rescapés. L’odyssée de ce bateau, rejeté par l’Italie et par Malte, avant que l’Espagne l’accueille, a relancé la polémique sur la politique d’accueil de l’Union européenne. Après plusieurs jours de polémiques, le président français a précisé que la France accueillerait les migrants qui le souhaitent.
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Réfugiés: le grand renoncement de l’Union européenne

Euractiv.fr - Mon, 18/06/2018 - 09:39
La baisse du nombre de demandes d'asile résulte d'une gestion plus restrictive des flux migratoires par l'Europe. Une situation qui devrait s'accentuer avec les propositions de réforme du système d'asile européen, le système de Dublin.  
Categories: Union européenne

La politique allemande risque de faire trébucher la réforme de la zone euro

Euractiv.fr - Mon, 18/06/2018 - 08:00
France et Allemagne se retrouvent le 19 juin à Berlin pour un sommet préparatoire au Conseil européen de la fin du mois. Les deux pays conservent des positions divergentes sur l'économie.  
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[Vidéo] A Saint-Pétersbourg, un centre d'accueil contraint de déménager

RFI (Europe) - Mon, 18/06/2018 - 00:44
En Russie, les responsables d'un centre d'accueil pour les personnes issues de minorités ont été contraints de déménager. La « Maison de la Diversité » de Saint-Pétersbourg a vu son bail annulé sans préavis alors qu'elle devait ouvrir ses portes près de la Fan Zone. Les associations anti-racistes et LGBT qui soutiennent l'initiative dénoncent les « pressions » exercées à leur encontre par les autorités locales. Reportage à Saint-Pétersbourg de Daniel Vallot.
Categories: Union européenne

Royaume-Uni: Theresa May promet d'injecter des milliards au système de santé

RFI (Europe) - Sun, 17/06/2018 - 21:08
Theresa May a annoncé ce dimanche matin un nouveau plan de financement du NHS, le système de santé publique britannique. Un plan sur dix ans qui doit sauver le NHS de la faillite.
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Les services secrets allemands accusés d'avoir espionné l'Autriche europe-RFI

RFI (Europe) - Sun, 17/06/2018 - 17:46
Dans leur édition de samedi 16 juin, deux journaux autrichiens affirment que les services secrets allemands (BND) ont espionné des ministères, des organisations internationales et des entreprises situées en Autriche. Le président autrichien Alexander Van der Bellen a aussitôt demandé des explications à l'Allemagne lors d'une conférence de presse commune avec le chancelier Sebastian Kurz.
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"30 jours pour comprendre l'Europe" : Quiz [n°1 à 5]

Toute l'Europe - Sun, 17/06/2018 - 11:00
Vous avez suivi notre série 30 jours pour comprendre l'Europe ? Testez vos connaissances avec ce quiz qui revient sur les jours 1 à 5.
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Aquarius: Rome place les Etats européens devant leurs responsabilités

Coulisses de Bruxelles - Sat, 16/06/2018 - 18:33

Le refus d’accueillir dans les ports italiens l’Aquarius et ses 629 migrants est brutal. Mais au-delà de l’émotion suscitée par cette décision sans précédent, très largement dû au fait qu’elle émane d’un ministre de l’intérieur d’extrême droite, Matteo Salvini, leader d’une Ligue qui a fait de la xénophobie son fonds de commerce, rares sont ceux qui, à Bruxelles, condamnent ce geste spectaculaire.

Car cela fait des années que l’Italie est laissée seule face aux arrivées de migrants en provenance de Libye, comme avant elle la Grèce. « Aucun pays ne s’est montré solidaire de Rome, alors que régulièrement le Conseil européen des chefs d’État et de gouvernement affirme, à l’unanimité, la nécessité de ne pas la laisser seule », souligne-t-on à Bruxelles. Un abandon européen qui explique en bonne partie la défaite du partie Démocrate et l’arrivée au pouvoir des démagogues du Mouvement 5 Etoiles alliés à l’extrême droite de la Ligue.

Ne pas oublier Malte

L’attitude de Malte qui a, elle aussi, refusé d’accueillir l’Aquarius, et ce n’est pas une première, en est la démonstration, alors que l’île est gouvernée par les travaillistes. C’est finalement le nouveau gouvernement socialiste espagnol qui a sauvé l’honneur, à la grande satisfaction de Rome : « De mémoire de citoyen, c’est la première fois qu’un bateau ayant secouru des migrants en Libye les débarquera dans un autre port qu’un port italien, c’est le signe que quelque chose est en train de changer », s’est ainsi félicité Matteo Salvini.

De fait, tous les pays européens qui participent aux différentes opérations de Frontex (1) en Méditerranée (Poséidon au large de la Grèce, Aeneas, au large de l’Italie, à laquelle a succédé Hermès, puis Triton et enfin Thémis), ont toujours posé comme condition que les migrants sauvés ne pouvaient être ramenés qu’en Italie et non pas dans le pays du pavillon du navire qui les avaient sauvés (2) alors que la Péninsule a accueilli, depuis 2013, plus de 700.000 migrants arrivés par bateaux. Paris, furieuse de voir arriver des étrangers sans papier chez elle, a même rétabli les contrôles à la frontière italienne et pratique une chasse impitoyable aux migrants.

Les erreurs de la Commission

La Commission, elle-même, ne s’est pas montrée très compréhensive. Fin 2015, poussé par une Allemagne qui venait d’ouvrir ses frontières à près d’un million de demandeurs d’asile et de migrants provenant de Grèce et qui voulait mettre fin à cet afflux, l’Allemand Martin Selmayr, alors chef de cabinet de Jean-Claude Juncker, a ainsi ouvert deux procédures d’infraction contre la Grèce, un État en faillite, et l’Italie parce qu’ils n’avaient pas créé suffisamment de « hotspots » pour prendre les empreintes de tous les arrivants (afin de nourrir le système Eurodac). Une catastrophe politique pour Matteo Renzi, alors Premier ministre, et une bénédiction pour les « populistes » à qui Selmayr a fourni un argument de campagne en or. A la suite de cette affaire, le membre italien du cabinet Juncker a démissionné avec pertes et fracas…

Le problème est que la crise de l’Aquarius arrive à contretemps, la « vague migratoire » étant bel et bien passée. Désormais, les arrivées sont revenues à leur niveau d’avant 2015 : au 6 mai, l’Italie n’a enregistré que 9657 arrivées depuis le début de l’année, soit une diminution de 77 % par rapport à la même période de 2017. « L’Aquarius, c’est largement du show », remarque-t-on à la Commission. Mais, convient-on, cela ne veut pas dire pour autant qu’il ne faut pas trouver des solutions durables en cas de nouvel afflux.

Dublin dans les choux

Or, si un corps européen de gardes-frontières, aux effectifs encore symboliques (1500 personnes), mais qui vont considérablement augmenter dans les prochaines années, a été créé en 2015, la solidarité entre États membres est toujours un vœu pieux et le restera pour longtemps. Il n’est pas question de remettre en cause le droit de chaque pays d’accueillir ou non un étranger arrivant sur son sol et, en matière d’asile, c’est le premier pays d’arrivée qui reste, en principe, seul responsable du traitement de la demande (règlement dit de Dublin). La Commission et une majorité d’États ont bien essayé de rendre obligatoire durant deux ans la relocalisation d’une partie des demandeurs d’asile (et non leur séjour permanent), mais ce règlement est un échec, les pays d’Europe de l’Est refusant d’accueillir des étrangers dont ils ne veulent pas, les musulmans en clair. La proposition de réforme du règlement de Dublin, qui visait à rendre permanente la relocalisation des demandeurs d’asile, est totalement bloquée et ne verra jamais le jour en l’état.

Ce qui peut se comprendre : comment obliger un État à accueillir des personnes dont il ne veut pas et surtout comment contraindre des êtres humains à se rendre dans des pays où ils ne veulent pas aller ? Et la période récente a montré qu’il ne fallait pas compter sur la bonne volonté des États, d’autant que l’Allemagne, qui a voulu se montrer généreuse, l’a payé cher avec la percée de l’extrême droite de l’AfD. Un remède à la solidarité. Ce n’est pas un hasard si Emmanuel Macron, qui avait critiqué durement, pendant la campagne présidentielle, cette absence de solidarité européenne a vite remisé ses promesses.

Pour Patrick Weil, directeur de recherche au CNRS et professeur associé à Yale, « l’Europe joue la survie de son espace de libre circulation intérieur dans cette affaire. Si elle ne veut pas voir les frontières ressurgir partout, elle n’a pas d’autres choix que de trouver des mécanismes de solidarité pour soulager les pays de la ligne de front ». Cela passera aussi par des accords avec les pays tiers, comme ceux conclus avec la Turquie ou le Maroc, afin que ceux-ci assurent le contrôle de leur littoral, et des accords de réadmission avec les pays d’origine pour les étrangers qui ne seront pas admis au séjour. Le gouvernement italien vient utilement de rappeler aux Européens qu’ils doivent sortir du déni : on ne peut à la fois vouloir sauver les migrants de la noyade et se laver les mains de leur sort.

(1) L’agence européenne chargée de coordonner le contrôle des frontières extérieures de l’Union.

(2)Près de 900.000 personnes ont ainsi été sauvées depuis 2015 dans toute la Méditerranée.

N.B.: article paru dans Libération du 13 juin

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"30 jours pour comprendre l'Europe" : Les langues de l'Union européenne [n°6]

Toute l'Europe - Sat, 16/06/2018 - 11:45
Vous n'êtes pas spécialiste des questions européennes ? Toute l'Europe vous explique l'essentiel ! Brexit, zone euro, populismes... découvrez ou redécouvrez l'Union européenne avec un article par jour, du lundi au samedi. Aujourd'hui : "les langues de l'Union européenne.
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Conte et Macron lissent leurs différends après la tempête

Euractiv.fr - Fri, 15/06/2018 - 20:24
Réunis à Paris, Emmanuel Macron et Giuseppe Conte, le nouveau président du conseil des ministres italien, ont fait montre d’amitié et de coopération après une semaine de déclarations acides au sujet de l’Aquarius.  
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Donald Trump, le meilleur allié de la construction européenne

Coulisses de Bruxelles - Fri, 15/06/2018 - 18:45

Et si Donald Trump était une chance pour l’Union européenne ? Confrontés à l’imprévisible président américain, les Européens ont d’abord fait le pari que la raison finirait par l’emporter, une fois que le nouveau locataire de la Maison-Blanche aurait pris ses marques et que les contre-pouvoirs prévus par la Constitution américaine auraient commencé à jouer. Si, sur le plan intérieur, cela a partiellement fonctionné, en matière internationale, ce n’est pas ce qui s’est passé. Non seulement parce que le président des États-Unis dispose de larges pouvoirs dans ce domaine, mais parce qu’il peut, par simple refus de jouer le jeu diplomatique, bouter le feu à la planète, comme le G7 québécois en a fourni la démonstration. Les Européens ont désormais la certitude qu’ils ne sont plus considérés par Washington comme des alliés naturels, mais comme des ennemis potentiels, ce qui bouleverse l’ordre international hérité de la Seconde Guerre mondiale.

Un unilatéralisme pas si nouveau

Il serait inexact de croire que l’unalitéralisme américain est une novation. Jusqu’à la mise en place de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), en janvier 1995, il était même la règle et il le reste encore en partie, comme l’ont montré les sanctions qui ont frappé les banques européennes qui ont osé utiliser le dollar pour commercer avec des pays placés sous embargo par les États-Unis, comme l’Iran. La différence, aujourd’hui, est le refus assumé de Trump de jouer le jeu du multilatéralisme, au point même de remettre en question l’existence de l’OMC : ce n’est pas un hasard si la Maison-Blanche n’a toujours pas désigné ses juges au sein de l’Organe de règlement des différents (ORD) de l’OMC, ce qui va paralyser à terme cette justice commerciale internationale. Ce qui est totalement nouveau aussi, c’est l’extrême brutalité de Trump qui clame via Tweeter ses oukases, refuse de toute négociation, est incapable de tenir parole et est d’une mauvaise foi sidérante.

Ainsi, à Bruxelles, on souligne que Trump, qui a annoncé son intention de frapper les importations automobiles européennes, « affirme que nos tarifs douaniers sur les voitures américains sont de 10% contre 2,5 % aux États-Unis. Mais il oublie de dire que les droits de 10 % ne touchent qu’un milliard d’euros des importations américains sur un total de 6,5 milliards, seules les voitures ne comportant aucune pièce européenne étant pleinement taxées ». De même, les camions européens sont taxés à 25% contre 22% pour les américains, le textile européen supporte des droits de 32% contre 12% pour le textile américain, les produits agricoles européens ne peuvent quasiment pas entrer aux États-Unis, etc..

L’Union occupe la place laissée par les Etats-Unis

Face à cette brutalité, la placide Commission n’a eu d’autre choix que de taper du point sur la table au lendemain de l’imposition de droits de douane sur l’acier et l’aluminium européen, le 31 mai, en attaquant les États-Unis devant l’OMC. Mieux, des mesures de rétorsion sur près de 3 milliards d’euros d’importations américaines devraient entrer en vigueur début juillet. Profitant de ce retour de l’isolationnisme américain, une première depuis la crise de 1929, l’Union a occupé sans hésiter l’espace laissé libre : elle a signé un accord commercial inespéré avec le Japon et s’apprête à conclure avec le Mexique et le Mercosur et, à terme, avec l’Australie ou encore la Nouvelle-Zélande. Et elle compte bien profiter de la stupidité de l’administration Trump : ainsi le Mexique va annoncer l’ouverture d’un quota d’importation de viande porcine de 350.000 tonnes pour pallier le retrait américain (à comparer avec les 90.000 tonnes de bœufs que le Mercosur aimerait importer dans l’Union et qui font polémiques…)

L’OTAN affaibili

La prochaine étape de la guerre déclenchée par Trump contre ses (ex ?) alliés pourrait bien avoir lieu lors du sommet de l’OTAN de Bruxelles des 11 et 12 juillet: si les Européens restent attachés au parapluie américain, faute d’avoir les moyens à brève échéance de faire face seuls aux dangers qui les menacent, ils savent qu’il est déjà en train de se replier : Trump a qualifié, lors de sa prise de fonction, d’obsolète l’Organisation atlantique, et il n’a pas l’intention de continuer à payer pour la défense des Européens. Mais là aussi, les Européens vont avoir du mal à tourner une page de 70 ans : iront-ils jusqu’à acheter du matériel militaire européen pour envoyer un signal aux États-Unis ? On peut en douter. Or la dépendance militaire implique la dépendance économique…

Si l’Europe a su, pour l’instant, se montrer unie face aux menaces extérieures (Trump et Brexit), elle est elle-même gagnée par la fièvre « populiste », comme en Italie, en Hongrie, en Pologne ou encore en Slovénie, ce qui porte en germe le risque de désintégration. Ce n’est pas pour rien que certains proches de Trump se réjouissent de l’avènement de ces gouvernements. Et le président américain n’a jamais caché qu’il détestait l’Union, au point d’ailleurs de ne toujours pas avoir nommé d’ambassadeur à Bruxelles, depuis le licenciement brutal d’Anthony Gardner en décembre 2016… C’est pour éviter cette catastrophe que l’Allemagne, qui a besoin de l’Union pour résister à Trump, puisqu’elle sera la première touchée par la guerre commerciale qui s’annonce, et plus généralement pour assurer sa sécurité, a enfin commencé à bouger sur l’approfondissement de l’Union. Après de longs mois de silence, Angela Merkel et son ministre social-démocrate des finances, Olaf Scholz, ont enfin reconnu la nécessité d’instaurer un minimum de solidarité financière au sein de la zone euro, comme le réclame Emmanuel Macron, seul moyen de garder les Italiens, mais aussi les autres pays du sud, à bord et de les détourner des tentations europhobes. Un beau retournement dialectique : les populistes europhobes au secours de l’Europe…

N.B.: version longue de mon article paru le 11 juin

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Le blocage institutionnel persiste sur l’efficacité énergétique

Euractiv.fr - Fri, 15/06/2018 - 17:39
Les négociations sur les nouvelles règles d’efficacité énergétiques ont à nouveau capoté cette semaine, États et eurodéputés étant incapables de trouver un compromis sur les objectifs à fixer.
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Macron et Merkel: un concert européen avec l’Afrique ?

Euractiv.fr - Fri, 15/06/2018 - 17:26
A la veille du sommet franco-allemand prévu le 19 juin, l’ONG ONE appelle les dirigeants des deux pays à relever l’ambition européenne sur la partenariat avec l’Afrique. Friedrike Röder et Stephan Exo-Kreischer sont respectivement directrice de la branche française et...
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Bruxelles dévoile son projet de hausse de l’aide au développement

Euractiv.fr - Fri, 15/06/2018 - 17:25
La Commission européenne a défendu son projet de hausse du budget à l’aide au développement et d’élimination des obstacles bureaucratiques.
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Relations UE-Etats-Unis : un début de "guerre commerciale" ?

Toute l'Europe - Fri, 15/06/2018 - 15:55
Depuis le 31 mai, les Etats-Unis appliquent des droits de douane supplémentaires sur l'acier et l'aluminium européens. En se retirant de l'accord sur le nucléaire iranien, Washington menace de sanctions financières les entreprises européennes qui resteraient en Iran. Pour Franck Proust, chef de la délégation LR au Parlement européen et interrogé par Toute l'Europe, ce n'est rien de moins qu'une "guerre commerciale" qui vient de débuter entre l'UE et les Etats-Unis.
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Allemagne : la question migratoire divise le gouvernement Merkel

Toute l'Europe - Fri, 15/06/2018 - 12:16
Rien ne va plus au sein du gouvernement d'Angela Merkel. Face à son ministre de l'Intérieur qui prône une politique migratoire ferme, la chancelière allemande plaide pour une solution européenne. Depuis le 11 juin, le désaccord se transforme en crise politique.
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"30 jours pour comprendre l'Europe" : Les Etats membres [n°5]

Toute l'Europe - Fri, 15/06/2018 - 11:45
Vous n'êtes pas spécialiste des questions européennes ? Toute l'Europe vous explique l'essentiel ! Brexit, zone euro, populismes... découvrez ou redécouvrez l'Union européenne avec un article par jour, du lundi au samedi. Aujourd'hui : "les Etats membres".
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L’Antarctique en pleine débâcle

Euractiv.fr - Fri, 15/06/2018 - 11:36
Depuis 2012, la fonte de l’Antarctique s’est accélérée d’un facteur trois. Ce qui laisse présager le pire pour la montée du niveau marin. Un article de notre partenaire, le Journal de l’Environnement.
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Les cinq actes des tensions franco-italiennes sur l’Aquarius

Euractiv.fr - Fri, 15/06/2018 - 10:59
Malgré des échanges tendus entre Paris et Rome sur l'accueil de l'Aquarius, le chef du gouvernement italien viendra bien en France rencontrer Emmanuel Macron. Notre partenaire l'Ouest-France résume la crise en cinq actes. 
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L’huile de palme disparaîtra des transports européens d’ici 2030

Euractiv.fr - Fri, 15/06/2018 - 10:58
L'utilisation de l'huile de palme comme carburant devrait disparaître en Europe d'ici 2030 dans le cadre d'une réforme des lois sur les énergies renouvelables. Une avancée « timide », selon les ONG.
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