Ces derniers mois, la presse a évoqué, à plusieurs reprises, des cas de ressortissants américains et britanniques, anciens militaires ou non, partis faire le coup de feu contre l’État islamique en Irak et en Syrie aux côtés des combattants kurdes. Dans le même temps, des milices chrétiennes ont vu le jour. Celle appelée Dwekh Nawsha […]
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Lu dans notre édition de Lorient cette enquête sur les nuisances sonores engendrées par la BAN de Lann-Bihoué. Un sujet qui rappelle la polémique de Landivisiau.
Le 19 octobre, à l’Assemblée Nationale, à Paris, se tiendra une réunion autour du thème "La Mauritanie face au défi du terrorisme au Sahel". Cette conférence est organisée par le député Jean-Louis Costes en collaboration avec l’association Les Amis de la Mauritanie officiellement lancée à Paris le 16 septembre. Cette association, dont l’objectif est de promouvoir l'image de la Mauritanie en France et de mieux faire connaître le pays dans l’hexagone, est présidée par Peer de Jong, co-fondateur de Sovereign Global, professeur associé à l’Ecole de Guerre Economique et à l’Institut THEMIIS (voir mon post sur ce centre de formation qui va ouvrir ses portes ici).
L’association comprend des membres français et européens, notamment Jean-Louis Bruguière, l’avocat international Eric Diamentis, l'écrivain Gaston Kelman et beaucoup de connaisseurs de la Mauritanie dont le chercheur Manuel Dieudonne, Julie Noesser et la romancière Cécile Ladjali.
L’Association des Amis de la Mauritanie prévoit d’organiser d’autres événements dont un colloque à Bruxelles au cours du premier trimestre 2016 sur les problématiques du G5 Sahel, de la Global Approach et des financements européens. Enfin, un troisième colloque se tiendra à nouveau à Paris sur les questions liées aux droits de l'homme.
Pour tout renseignement, contacter peerdejong@gmail.com
Depuis quelques jours, des avions supposés appartenir aux forces de Bachar el-Assad multiplient les frappes aériennes contre les jihadistes de l’État islamique (EI ou Daesh). Et, selon l’Observatoire syrien des droits de l’hommes (OSDH), ces dernières « se font plus précises », l’armée syrienne « ayant reçu des armes et des avions plus performants de Moscou ». Peut-être. En […]
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Vitruve? Qui se souvient du projet de cette société éphémère... Pour se rafraîchir la mémoire, je suggère la lecture de quelques-uns de mes posts (ici, ici et ici). En résumé, en 2010, Vitruve proposait de louer des heures de vol à l'ETAP pour assurer la qualification et l'entraînement des parachutistes. La société espérait pouvoir acquérir un/des aéronefs pour remplacer les avions de l'armée de l'air trop souvent indisponibles pour assurer les missions demandées par l'école.
Mal accueillie en 2010 (certains élus, dont un membre de la commission de la Défense, qui n'avaient pas tout compris, ont frôlé la crise hystérique), l'idée a toutefois fait son chemin. La faute à l'indisponibilité désormais endémique des avions de l'AA.
Un appel d'offres a été lancé (lire ici) en octobre 2014 pour trois appareils: un CASA 212-300, un Pilatus et un Cessna 208B. Il a été attribué début janvier dernier (lire ici). Mais ces appareils ne permettent pas d'assurer toutes les missions de l'école, comme le reconnaissait un article paru dans Béret rouge et auquel j'ai consacré un post en avril dernier (lire ici).
J'ai aussi fait part des appels d'offres du 13e RDP, du 1er RPIMa, de la Forfusco etc pour des appareils de largage.
Tout ceci démontre que les besoins sont variés mais importants d'une part, et que les réponses sont fragmentées d'autre part.
Cette réalité a visiblement été perçue au ministère de la Défense, où la question de l'externalisation n'est plus du tout tabou, et où l'on réclame de la cohérence dans les marchés passés avec des prestataires privés.
D'où un probable et prochain appel d'offres au profit de l'ETAP et, qui sait, au profit des unités dont les personnels ont besoin d'avions de largage (encore faudrait-il que certains militaires se parlent...). Un tel appel d'offres témoignerait de la recherche d'une solution durable et cohérente. Mais que les élus se rassurent: ce n'est pas l'ETAP qui est privatisée; ce qui est externalisé, c'est la fourniture d'appareils.
Le porte-avions français sort de son arrêt technique estival, qui a débuté au mois de juin, et a repris la mer hier. Une première sortie consacrée aux essais, afin de valider les travaux réalisés par DCNS et les performances du bâtiment, qui devrait rejoindre sa base varoise d’ici vendredi.
Après huit mois de réparations à Maurice suite à l’incendie qui l’avait gravement endommagée dans la nuit du 29 au 30 septembre 2014, la frégate de surveillance Nivôse est enfin de retour à La Réunion. Attendu aujourd’hui, le bâtiment, bien que réparé, revient toutefois comme il était parti : tracté par un remorqueur. C’est donc à Port des Galets qui l’équipage du Nivôse va reprendre en main son bâtiment.
Basée à Brest, la seconde frégate multi-missions française, livrée par DCNS à la Marine nationale en juin, a rejoint la Méditerranée pour quelques semaines. Arrivée hier matin à Toulon, la Provence va réaliser différents exercices dans les eaux de la Grande Bleue, afin de tester ses performances et celles de ses équipements (par exemple ses sonars) dans différentes conditions de mer. La Provence avait fait une première incursion méditerranéenne en avril dernier, lorsqu’elle était en phase finale d’essais.
Cousine des Forbin et Chevalier Paul de la Marine nationale, la frégate italienne Andrea Doria a appareillé hier de Brest après quatre jours d’escale. Parti le 3 septembre de sa base de Tarente, le bâtiment a rejoint l’Atlantique pour participer à l’exercice Joint Warrior, qui réunira début octobre, en Europe du nord, une flotte impressionnante.
Il sera le plus gros AHTS (releveur d’ancres) de la flotte de Bourbon. L'imposant navire est actuellement en cours de finition au chantier Vard de Brattvåg, en Norvège. Sa coque a été réalisée par le site roumain du constructeur à Tulcea. D’une longueur de 93.6 mètres pour une largeur de 24 mètres, le Bourbon Arctic disposera d’une puissance de traction de 280 tonnes, au minimum. Classé Ice 1A, il a été pensé pour les opérations d’offshore profond notamment dans les zones arctiques, mais également pour des campagnes éloignées nécessitant une forte autonomie d’action.