En décembre 2015, Northrop-Grumman a présenté un projet de drone MALE (Moyenne Altitude Longue Endurance) pouvant être mis en oeuvre depuis un destroyer de l’US Navy et reprendrant le concept du Convair XFY-1 Pogo, un programme de « Tail-Sitter » abandonné à la fin des années 1950. L’idée de la marine américaine, qui a donc lancé le […]
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L’information était attendue d’ici la fin de l’année. Mais la Direction générale de l’armement (DGA) a mis fin au suspens ce 23 septembre : le fusil d’assault HK-416 F sera le successeur du FAMAS. Via un communiqué, la DGA a en effet indiqué que le contrat portant sur l’arme individuelle future (AIF) a été attribué […]
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La Cour internationale de Justice (CIJ) a annoncé qu’elle allait rendre ses jugements le 5 Octobre à 10h00 concernant l’affaire des “Obligations relatives à des négociations concernant la cessation de la course aux armes nucléaires et le désarmement nucléaire” introduite par la République des Iles Marshall contre l’Inde, le Pakistan et le Royaume-Uni.
French Defence Minister Jean-Yves Le Drian has signed an agreement with his Indian counterpart Manohar Parrikar in New Delhi, putting an end to nearly 18 months of negotiations on the financial market conditions. According to the biggest agreement never signed by Dassault, India buys from France 36 Rafale fighter built by Dassault Aviation, for an amount close to € 7.87 billion.
This is the first big purchase of fighter by India since twenty years. Negotiations were difficult because India wanted to have also a transfer of technology, the broadest possible, but airplanes will be built in France.
The first devices are scheduled for delivery in 2019. The contract covers 264 Indian total Rafale today sold 180 to the French army - of which 146 had been delivered on June 30 - 24 in Egypt and 24 in Qatar . The first success of Dassault concerning Rafales for the sale was an agreement with Egypt; in 2015. Egypt shall already received 6 aircraft, the first delivery to Qatar is scheduled for 2018.
India already has Dassault Mirage-2000 fighters in service, and are know-how of service requirement of French fighters. This helps in logistics as well as fighter training. Rafale is more suited for multi-role combat like Typhoon and PAK-FA air dominance fighters. Rafale has distinct adventage in Air to Ground attack, role which is vital for IAF. The Rafale cost about 20% less than Thyphoon. The maintenance cost is also significantly lower. Rafale life cycle cost is 40 million USD less than of the Typhoon.
Jean-Yves Le Drian en Inde : des Rafale et des... von libezap
Le ministre de la Défense français Jean-Yves Le Drian a signé l'accord avec son homologue indien Manohar Parrikar à New Delhi, mettant ainsi un terme à près de 18 mois de négociations sur les conditions financières du marché. Selon l`accord le plus important jamais conclu par Dassault, l'Inde achète de la France 36 avion de combat Rafale construits par Dassault Aviation, pour un montant proche de 7,8 milliards d'euros.
C'est le premier gros achat de chasseurs par l'Inde depuis une vingtaine d'années. Cela faisait une vingtaine d'année que l'Inde n'avait pas effectué un tel achat de chasseurs. Les négociations étaient difficiles car l`Inde souhaitait aussi le transfert de technologie le plus large possible, mais ces avions seront construits en France.
Les premiers appareils devraient être livrés en 2019. Le contrat indien porte à 264 le total des Rafale aujourd'hui vendus : 180 à l'armée française - dont 146 appareils avaient été livrés le 30 juin - 24 à l'Égypte et 24 au Qatar. Le premier succès de Dassault concernant la vente des Rafales a été un accord conclu avec l`Egypte en 2015. L`Egypte a déjà reçu 6 appareils, la première livraison pour le Qatar est prévue pour 2018.
L'Inde possède déjà des avions Dassault Mirage-2000 en service, et ont le savoir-faire pour les avions de combats français. Cela aide à la logistique ainsi qu`à la formation pour le combat. Le Rafale est plus adapté pour le multi-rôle combat comme Typhoon et PAK-FA, combattants de dominance en air. Rafale a advantage distinct à l`attaque air-sol, rôle vital pour l'IAF. Le Rafale coûte environ 20% moins que le Thyphoon. Les coûts d'entretien sont également significativement plus faibles. Le coût du cycle de vie d`un Rafale est de 40 millions de dollars moins que celui du Typhoon.
Tag: IndiaRafaleLe groupe italien Fincantieri et les chantiers China State Shipbuilding Corporation ont annoncé ce vendredi la signature d’un protocole d’accord portant sur la construction en Chine de deux paquebots (plus deux en option) destinés au marché local de la croisière. Alors que la tête de série est livrable à partir de 2022, ces navires seront basés sur le design du Carnival Vista, un bateau de 324 mètres de long, 37 mètres de large, 133.500 GT de jauge et 1967 cabines livré au printemps dernier par le site Fincantieri de Monfalcone à la compagnie américaine Carnival Cruise Lines.
Après les responsables syndicaux de STX France vendredi dernier, nous interrogeons aujourd’hui les présidents des trois grandes collectivités ligériennes sur l’avenir des chantiers de Saint-Nazaire. Alors que le groupe sud-coréen STX Offshore & Shipbuilding souhaite conclure la vente de l’entreprise d’ici la fin de l’année, la Région des Pays de la Loire, le Département de la Loire Atlantique et la Communauté d’Agglomération de la Région Nazairienne et de l’Estuaire (la CARENE, qui regroupe 10 villes, dont celle de Saint-Nazaire) suivent évidemment de très près la situation.
Neelie Kroes au soir du référendum négatif aux Pays-Bas, l’ambiance n’était pas folichonne… (© NGV)
(BRUXELLES2) L’enquête réalisée par le consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) sur les «Bahamas Leaks» le démontre, l’ancienne commissaire Neelie Kroes était toujours administrative de la société Mint Holdings Ltd, jusqu’en 2009, c’est-à-dire durant toute la période où elle était commissaire à la Concurrence.
Un simple oubli ?
C’est simple oubli… prétend son avocat interrogé par Le Monde et rapporté par Le Soir . « Elle pensait qu’elle n’était plus administratrice dès le moment où cette société n’était plus nécessaire » a-t-il précisé. Cette société a, en effet, été créée en 2000 pour acheter des actifs de la société Enron Corp, le géant américain de l’énergie. Achat qui n’a jamais eu lieu, car Enron est tombé en faillite en 2001. C’est «une erreur administrative qui n’a été corrigée qu’en 2009 ». On a connu Neelie Kroes beaucoup plus professionnelle …
Une obligation d’indépendance
En 2004, lors de son audition devant le Parlement européen comme lors de ses réponses écrites au questionnaire des députés, Neelie Kroes s’était voulu très claire sur de possibles conflits d’intérêts qui pouvaient se poser avec son portfolio de commissaire à la Concurrence auquel elle était pressenti (1). A la question de savoir comment elle concevait « l’obligation d’indépendance » et comment elle comptait « concrètement mettre en œuvre ce principe », elle avait répondu :
Ces dispositions constituent une condition indispensable pour que la Commission réussisse et respecte les normes les plus élevées d’intégrité et de transparence, et j’ai la ferme intention de les observer intégralement. Je tiens à souligner que l’indépendance n’est pas une nouveauté pour moi. Quand j’étais ministre, j’ai appris que la responsabilité politique supposait une totale indépendance et une impartialité absolue. L’indépendance va de pair avec une transparence et une ouverture totales. C’est dans cette conviction que j’ai renoncé à toutes mes activités antérieures dans le monde des affaires et je compte déclarer tous mes intérêts financiers.
A la question posée sur ses « activités récentes et actuelles dans le monde des affaires, de la finance ou de la politique, ou concernant tout autre engagement susceptible d’être incompatible avec vos tâches futures », elle est encore plus péremptoire :
Le Code de conduite des commissaires les oblige à déclarer tout intérêt financier et élément de patrimoine qui pourrait créer un risque de conflit d’intérêts dans l’exercice de leurs fonctions. Je suis totalement d’accord sur le Code et les principes qui le sous-tendent et je ferai bien entendu une déclaration complète. Mon engagement ferme envers une transparence et une indépendance totales est dans la droite ligne de ce Code. J’ai par conséquent décidé de respecter clairement et strictement ses dispositions. J’ai renoncé à toutes mes autres activités, afin de me dissocier totalement de mes anciens intérêts commerciaux et financiers ainsi que de mes activités professionnelles antérieures; je pourrai donc assumer mes futures responsabilités de commissaire en toute indépendance. Aucune de mes activités actuelles n’entre en conflit avec mes futures fonctions de commissaire à la concurrence
Une question qui a pesé tout au long des débats
Pour ceux qui n’ont pas suivi les débats, cette question de conflit d’intérêt a largement pesé tout le long de l’audition en septembre 2004. Nombre de députés se sont interrogés sur ce point. Même au sein du groupe libéral (dont la Néerlandaise faisait partie), certains étaient très critiques. Ce qui montre combien la question était sensible. Neelie Kroes n’a d’ailleurs obtenu de passer la rampe du Parlement européen qu’en apportant une « garantie » qui a été enregistrée dans le compte-rendu fait ensuite par le Parlement européen. La commissaire a pris trois engagements : 1) renoncer à tous ses intérêts ; 2) rompre définitivement les liens qui la liaient au monde économique ; 3) confier à un de ses confrères commissaires toute enquête concernant des sociétés avec lesquelles elle aurait été en contact pendant la période.
Une promesse de ne pas aller dans le privé
La question a été lancinante au point que le président de la Commission européenne, d’alors, José-Manuel Barroso a été obligé à plusieurs reprises, lors de la conférence de presse au Parlement européen, le 18 novembre 2004, de monter au charbon pour défendre sa commissaire. Si il y a nécessité de remplacer le commissaire sur un dossier, le directeur général « a l’obligation de signaler » le problème ou le conflit d’intérêt. Mais « la décision est prise par moi en accord avec le commissaire ». Et d’ajouter : « La vraie indépendance c’est celle que nous avons choisie — dit-il. « Me Kroes a été bien au-delà de ce qu’on pouvait exiger. Elle a dit qu’elle n’irait pas dans le privé après son passage. » Une promesse que l’intéressée oubliera assez vite…
Commentaire : On peut estimer qu’en maintenant sa société aux Bahamas, Neelie Kroes n’a rien fait d’illégal. Au vu de ses déclarations à l’époque, de ses engagements écrits et oraux, ce type de propos n’est pas exact. L’ancienne commissaire à la Concurrence n’a pas seulement commis une erreur « administrative », elle a commis une faute et une illégalité politiques, un véritable parjure qui méritent d’être sanctionné. La fonction de commissaire à la Concurrence n’est pas tout à fait celle d’un responsable politique comme un autre, elle entraîne des choix financiers et juridiques sur les entreprises. La Commission Juncker est trop « coulante » avec ses prédécesseurs. Elle doit engager, immédiatement, la procédure de suspension des droits à pension de l’intéressée. La tolérance généralisée sur le pantouflage des anciens directeurs généraux de la Commission comme des anciens commissaires est un véritable poison pour l’esprit européen. Avec ce type « d’amis », l’Europe n’a plus vraiment besoin d’ennemis…
(Nicolas Gros-Verheyde)
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(1) Un portefeuille qu’elle n’a pas voulu lâcher. La Commission Barroso avait été marquée par l’épisode Buttiglione, un Italien pressenti au porte-feuille de la Liberté, de la Sécurité et de la Justice. Il avait été question un moment donné de permuter les deux portefeuilles celui de Kroes et celui de Buttiglione. Kroes avait alors refusé.
Gate terminal B.V. (Gate) et Elengy, une société de ENGIE, ont signé un protocole d'accord destiné à développer la coopération dans les services liés au GNL, comme le chargement de camions citernes et le soutage ou « bunkering ».
Ce protocole, signé le 21 septembre 2016 par Stefaan Adriaens et Pierre Cotin, respectivement directeurs commerciaux de Gate terminal et Elengy, manifeste l'ambition des deux entreprises de travailler ensemble afin d’améliorer plusieurs services liés au GNL pour leurs clients.