Une préconisation de bon sens qui aurait dû être mise en œuvre depuis longtemps et prioritairement. Pourquoi continuer à se priver de ressources incomparables ? Est-ce en raison du faible statut politique du Comité des régions ? Un argument qui devrait faire honte ! Intégrer, accueillir des migrants, des réfugiés, personne n’est mieux placé que les autorités locales, c’est le bon sens qui parle.
Le Comité européen des régions a appelé l’Union européenne à contribuer à l’amélioration des conditions de vie des réfugiés au Moyen-Orient et dans d’autres zones de conflit, au moyen d’un soutien financier de longue durée et en associant mesures à long terme et aide d’urgence. Dans un rapport adopté le 8 avril, l’assemblée des responsables politiques locaux et régionaux de l’UE a insisté sur le fait que les solutions doivent être davantage élaborées au niveau local, en association plus étroite avec les collectivités territoriales.
Le rapport note qu’alors que de nombreux camps sont construits comme des refuges d’urgence dotés de services improvisés, ils deviennent souvent un lieu d’habitation de longue durée pour des milliers de personnes. Si les propositions figurant dans le rapport rédigé par M. Hans Janssen (PPE/NL) étaient mises en œuvre, l’UE devrait demander que les services aux réfugiés soient planifiés pour une présence de ceux-ci dans les camps et dans les communautés locales à tout le moins de longue durée.
«L’UE consacre des sommes relativement importantes à l’aide aux réfugiés dans leur région d’origine. Mais il convient d’accorder une plus grande attention à la qualité de l’aide», a déclaré M. Janssen. «Les camps de réfugiés sont souvent des îlots, coupés des communautés locales. La fourniture de denrées alimentaires et d’eau, la collecte des déchets et l’éducation s’avèrent souvent difficiles sur le plan de la logistique et coûteuses. La communauté internationale, y compris l’UE, doit adopter une approche intégrée. Il y a lieu de considérer le défi de la fourniture des services, en partie, comme un problème de planification urbaine et il convient d’aider les administrateurs locaux des communautés d’accueil».
Quant au rôle que les collectivités territoriales de l’UE peuvent jouer, M. Janssen a ajouté: «Les collectivités locales et régionales européennes peuvent aider leurs homologues des pays d’accueil, en partageant les connaissances, les expériences et les programmes. Toute aide devra cependant être mieux coordonnée avec les autres soutiens fournis par l’UE et les Nations unies, lesquelles, pour le moment, ne collaborent pas aussi étroitement qu’elles le pourraient ou le devraient avec les responsables politiques et administrateurs locaux.» Un avis partagé par M. François Decoster (ALDE/FR), ancien rapporteur sur l’Agenda européen en matière de migration, qui a complété : « Il n’y aura pas de résolution de la question de la pression migratoire en Europe sans une approche globale. Ce rapport formule un certain nombre de propositions concrètes des collectivités locales et régionales qui, en Europe, sont en première ligne dans l’accueil des réfugiés ».
Dans l’avis, élaboré à l’initiative du CdR, il est demandé d’accorder une plus grande attention à l’intégration, en s’appuyant sur une meilleure éducation, un accès plus facile à l’emploi, ainsi que des mesures spécifiques destinées aux femmes, aux enfants et aux jeunes.
L’avis est publié deux mois après que les donateurs se sont engagés à verser plus de 10 milliards d’USD lors de la conférence sur l’aide à la Syrie, et un mois avant le sommet humanitaire mondial à Istanbul.
«Les États membres de l’UE sont conscients qu’il y a lieu d’améliorer l’assistance» a déclaré M. Janssen. «Ce rapport propose différents moyens de le faire, et l’un des meilleurs moyens consiste à aider les administrations locales, en les associant davantage au processus de planification, en leur faisant parvenir plus d’argent et en les formant davantage».
Parmi les propositions adoptées, celle appelant l’Union européenne à « déployer des efforts afin de favoriser l’autonomie des réfugiés », notamment en les informant sur les possibilités « d’accéder au marché de l’emploi ». Figure également la suggestion de la délégation italienne d’étendre le fonds fiduciaire régional de l’Union européenne en réponse à la crise syrienne à l’Afrique du Nord.
Pour en savoir plus
Avis du comité des régions https://www.google.be/url?url=https://webapi.cor.europa.eu/documentsanonymous/COR-2015-06328-00-00-AMRC-TRA-EN.docx&rct=j&frm=1&q=&esrc=s&sa=U&ved=0ahUKEwib0db60rbMAhXlDMAKHZlPBnAQFggqMAQ&usg=AFQjCNHzVK9pZ06GBMMClIlJd9QNkE6dXg
Two men and a woman were charged in London for their involvement in the logistical support of the terrorist cell that realized the Paris and Brussels attacks.
All three defendants lived in the Small Heath area in Birmingham. Two more men have been arrested but not as yet charged.
Mohammed Ali Ahmed, 26, is a British national; Zakaria Boufassil, 26, and his sister Soumaya, 29, are Belgians. They were charged on Friday for collecting and delivering funds for the Brussels and Paris attacks.
The two men handed over Mohamed Abrini £3,000 (€3,800) in November 2015, ahead of the Paris attacks. Abrini, 31, was the “man in the hat” spotted alongside the two suicide bombers on March 22 in the Brussels airport.
Boufassil’s sister, Soumaya, 29, mother of four, was charged for collecting money for terrorist purposes. Mrs Boufassil had withdrawn £16,000 (£20.000) from three bank accounts in what is thought to be an attempt to make a run for Syria.
The Birmingham-three trial begins on May 13th in London.
A fourth man, Fazal Sajjad Younis Khan, 40, also from the same quarter in Birmingham has been arrested on possession of a CS spray. A 59-year year old was apprehended and later released on strict bail.
All five were apprehended in the evening of April 14-15
(AFP, France 24, The Telegraph, The Guardian)
The post Paris attacks support network charged in London appeared first on New Europe.
May 1, 2016 (KHARTOUM) - The ruling National Congress Party (NCP) Sunday accused the armed and political opposition groups of bringing violence from the peripheral conflict areas to the Sudanese universities, particularly in Khartoum.
The Sudanese capital witnessed recently a wave of student protests where two students were killed in Omdurman and El Obied. The bloody incidents came after calls by the opposition groups to overthrow the regime through peaceful means.
In a meeting headed by the Presidential Assistant and Deputy NCP Chairman Ibrahim Mahmoud Hamid on Sunday, the political sector of the ruling party condemned what is called attempts by the armed groups to export violence to universities campuses.
"The Political Sector expressed its indignation over the use by the (opposition) Sudan Call of political tactics including attempts to export war to the universities campuses and to involve students in it," said the NCP spokesperson, Yasir Youssef on Sunday.
"We condemn violence, whether in the Two Areas or attempts to export it to the universities," Youssef further said.
He said the extraordinary meeting discussed the political and security situations in the universities, adding that it returned to normal in the capital and the other states.
Also, he called on the armed groups to sign the Roadmap Agreement, adding it is the "Only way out to stop the war and to promote peace in the states of South Kordofan and Blue Nile".
Pointing to a recent meeting held in Paris, he said "opposition rushing to Europe and holding a meeting in Paris or elsewhere will not lead to a solution" adding it is inside the country and in the Two Areas.
The opposition Sudan Call forces held a meeting in Paris from 18 to 21 April where it reiterated its rejection of the Roadmap Agreement and called on the African Union to review its plan for peace in Sudan, in a way to dissociate the ongoing dialogue conference inside the country from the national dialogue process proposed by the African Union in its initial plan of the decision 539.
Sadiq al-Mahdi, leader of the opposition National Umma Party, told Sudan Tribune last Thursday they plan to meet the African Union mediators to discuss the roadmap to demand the inclusion of more opposition groups in the process and to take into account the need to release political freedoms.
(ST)
Le 1er mai marque une nouvelle journée de mobilisation d'ampleur pour le retrait de la loi El khomri.
Le débat s'ouvrira mardi à l'Assemblée nationale sous la pression populaire et chaque député sera face à ses responsabilités : ou accepter la régression des droits de tous les salariés ou la refuser. Le pouvoir continue lui ses manoeuvres scandaleuses pour tenter de discréditer un mouvement qui ne se dément pas.
Dobos Sándor, Szamborovszkyné Nagy Ibolya szerk.: Mercurius Veridicus Novus I., Grafika Kiadó, 2015.
A Mercurius Veridicus Novus I. a II. Rákóczi Ferenc Kárpátaljai Magyar Főiskola Történelem- és Társadalomtudományi Tanszékének tanulmánygyűjteménye. Jelen kötet a 2014–2015. évekre a tanszék előadóinak és óraadó tanárainak azon tudományos munkáit foglalja magában, amelyek eddig még sehol nem jelentek meg. A tanulmányok és forrásközlések szinte minden esetben kisebb hazánk, Kárpátalja történetéhez, illetve a magyarság történetéhez kapcsolódnak. A tanulmányokban előforduló állításokért minden esetben a szerzők viselik a teljes felelősséget.
Az amerikai republikánusok esélyes elnökjelöltje, Donald Trump - két nappal az indianai előválasztások előtt - ismét azt állította, hogy a versenynek vége, ő lesz a párt elnökjelöltje. Trump nagy arányban vezet vetélytársai előtt Indiana szövetségi államban is.